Mostrando entradas con la etiqueta anécdotas. Mostrar todas las entradas
Mostrando entradas con la etiqueta anécdotas. Mostrar todas las entradas

jueves, 1 de noviembre de 2018

LA TOUSSAINT. Le Figaro.


Cementerio de Nuestra Señora de la Salud. Córdoba.
INTERVIEW - le 1er novembre, jour de « tous les saints » inaugure le mois des morts. Louis Manaranche, agrégé d'histoire et président du laboratoire d'idées Fonder demain, revient sur l'origine et l'histoire de ces expressions chrétiennes.
La Toussaint, littéralement, «fête de tous les saints» ouvre chaque année le mois des morts. Célébration unique dans le calendrier liturgique, elle est l'occasion de fleurir les tombes de nos défunts. Mais d'où vient-elle? Ne concerne-t-elle vraiment que les chrétiens et a fortiori les hommes et femmes sanctifiés? Louis Manaranche, agrégé d'histoire et président du laboratoire d'idées Fonder demain, revient sur cette fête qui nous invite, une fois par an, «à méditer sur la fin de la vie».

LE FIGARO - Comment est née la Toussaint et que signifie-t-elle?
Louis Manaranche - La Toussaint est née de la volonté du pape Grégoire IV, qui a ajouté, en 835, une fête en l'honneur non seulement des nombreux martyrs que les chrétiens ont très tôt célébrés collectivement, mais de tous les saints. La date choisie, le premier novembre, s'est alors imposée à l'Église universelle.
La Toussaint signifie donc littéralement la fête de tous les saints. Mais attention, c'est là que se cache l'équivoque. Elle ne désigne pas uniquement la fête de tous les saints qui ont été officiellement canonisés par l'Église. En réalité, c'est la fête de tous les saints, au sens de tous les baptisés qui sont entrés dans la vie éternelle, tous ceux qui sont au ciel.
Dans la tradition catholique, on croit en effet à l'existence d'un état d'attente après la mort. Il est incarné par le Purgatoire. Là-bas, les âmes doivent être purifiées et lavées de tout ce qui les retient encore loin de Dieu. C'est à leur intention que l'on prie le 2 novembre, depuis que les moines de Cluny ont institué cette fête à la fin du Xe siècle. Le 1er novembre, c'est le jour où sont célébrés tous ceux qui ont été élus, ceux qui ont rejoint Dieu, au ciel, dans la joie de la vie éternelle. 

La Toussaint n'est donc pas le jour des morts...C'est à la fois vrai et faux. Car, pour être saint, au sens de la Toussaint, c'est-à-dire dans la contemplation éternelle de Dieu, il faut être mort. En un sens donc, la Toussaint est bien liée à la mort. Et puis, rappelons que la coutume en a fait un moment pour aller au cimetière. Il y a donc bien là aussi l'idée de communier avec les défunts qu'on a connus. Le 1er novembre et le 2 novembre sont deux fêtes qui participent du même Mystère, à savoir l'appel de l'homme à connaître la vie éternelle.
C'est donc pour cela que l'on a pour habitude de dire que la Toussaint ouvre le mois des morts?
Oui, pour ces deux raisons. Mais il faut aussi préciser qu'il s'est rajouté, depuis le XXe siècle, en Occident, le 11 novembre. En France comme en Angleterre, après l'hémorragie colossale de la guerre de 14-18, le 11 novembre a consacré encore davantage le mois de novembre aux morts en Europe. Les monuments aux morts sont d'ailleurs fleuris avec des chrysanthèmes. Des fleurs de saison que l'on a pris pour habitude de déposer sur les tombes au moment de la Toussaint.

Dans une société aussi déchristianisée que la nôtre, peut-on vraiment penser que la Toussaint a encore une portée chrétienne? N'aurait-elle pas seulement une portée traditionnelle comme Noël ou Pâques?
Le fait d'aller fleurir des tombes à la Toussaint induit une dimension bien moins festive que Noël. Mais bien des coutumes ancrées dans la tradition catholique restent vivaces. Dans certaines régions rurales de France, la coutume de la bénédiction des tombes existe encore. Le prêtre se rend au cimetière, traditionnellement après la messe, pour asperger les tombes d'eau bénite en souvenir du baptême de ces défunts. Souvent, de même, le fleurissement des tombes s'accompagne d'une petite prière ou d'un signe de croix.
Plus largement, cette fête permet à l'homme contemporain de questionner le rapport de nos sociétés déchristianisées à la mort. Une fois par an, elle nous invite à méditer sur la fin de la vie alors même que la mort a largement été évacuée de nos sociétés, comme si ce n'était plus un fait crucial. Aujourd'hui on enterre rapidement, on veille rarement les morts, la crémation a pris une grande importance et les rites autour du corps qui en découlaient se sont évanouis.
Songez par exemple aux obsèques que l'on faisait encore jusque dans les années 1960 à Paris. L'Église était tendue de noir, le domicile du défunt aussi. Aujourd'hui, tout ceci serait impensable. On ne pourrait pas voir des cortèges funéraires dans nos rues. Pourtant, même dans une société déchristianisée, la Toussaint est l'occasion de confronter l'homme contemporain à la mort. Elle n'a rien perdu de sa dimension spirituelle.

sábado, 26 de diciembre de 2015

Une brève histoire du Père Noël

 
D’où vient le Père Noël ? Qui est Saint-Nicolas ? Est-ce que Coca-Cola a inventé le costume rouge et blanc ? Les réponses à ces questions permettent de mieux cerner le livreur de cadeaux de la fin du mois de décembre. Une tradition à la fois ancienne et récente. Explications.
SOURCE: LE MONDE.



miércoles, 23 de septiembre de 2015

Estaciones

Hoy damos la bienvenida al Otoño, estación que Goya representó en uno de sus cartones para tapices relacionándola con la vendimia. Este cartón forma parte de una serie con el tema de las Cuatro Estaciones y otras escenas campestres, de la cual el museo del Prado conserva once cartones. 

La vendimia o el Otoño de Goya.

Y para aquellos que se encuentran en el hemisferio sur, hoy empieza la Primavera, también representada por Goya en la misma serie de cartones.
Las floreras o la Primavera. Goya.
Fuente: Museo del Prado.



ÉQUINOXE D´AUTOMNE.



Publicado el 21 de septiembre del 2018.

martes, 28 de abril de 2015

Los secretos de Keops, Tutankamon

Mucho se ha dicho y escrito sobre el desafío técnico que supone la pirámide de Keops, desde propuestas sensatas hasta comentarios sin sentido relacionándola con extraterrestres.
Si queréis conocerla mejor, mirad este interesante vídeo. Y otro que relaciona las pirámides con los mitos tradicionales egipcios como el de Osiris.




TUTANKAMON. Sarcófago.
Por años se ha creído que Tutankamón fue hijo del faraón Akhenaten y de una de sus hermanas, sin embargo, nueva evidencia parece indicar que Nefertiti fue la verdadera madre del faraón maldito.
Tutankamón fue faraón de Egipto durante la dinastía XVIII (1335-1325 a.c.). Fue coronado aproximadamente a los ocho años de edad, tras la muerte de su padre Akhenaten (conocido por establecer el monoteísmo en Egipto, bajo la adoración del dios solar Atón). Su reinado duró apenas 9 años, durante el cual restituyó el politeísmo y las viejas costumbres. Tutankamón murió a la corta edad de 19 años.
El linaje de Tutankamón nunca ha estado del todo claro. Estudios genéticos llevados a cabo en 2005 por un equipo internacional de investigadores comprobaron la ascendencia patriarcal de Akhenaten a la vez que sugerían que el faraón era el producto incestuoso de Akhenaten y una de sus cinco hermanas.  El hecho de que Tutankamón presentara algunas malformaciones congénitas como un pie deforme, leve paladar hendido y una ligera escoliosis, parecían confirmar dicha hipótesis.
Sin embargo, nuevas pruebas genéticas llevadas a cabo por Marc Gabolde, director de la expedición arqueológica de la Universidad Paul Valery-Montpellier III, parecen indicar que la madre de Tutankamón fue en realidad Nefertititi, la prima hermana de Akhenaten. Gabolde argumenta que las malformaciones de Tutankamón son resultado del consecutivo matrimonio entre tres generaciones de primos hermanos.
Si bien el reino de Tutankamón fue poco relevante, el faraón se ha hecho famoso por la misteriosa muerte que persiguió a quienes descubrieron su exuberante tumba. Actualmente se cree que el aire enclaustrado en la cripta albergaba hongos microscópicos, factor que provocó la enfermedad de quienes ingresaron a ella en 1922.
Fuente: National Geograhpy en español. http://www.ngenespanol.com/fotografia/lo-mas/13/02/13/descubre-nefertiti-madre-tutankamon.html

lunes, 12 de enero de 2015

Gonzalo Fernández de Córdoba, el Gran Capitán.


El Gran Capitán y Granada. En el 500 aniversario de su fallecimiento.

"Tras los pasos del Gran Capitán".
Pablo Rodríguez. El IDEAL de Granada.


Granada, como último acomodo del héroe, honrará su memoria con una serie de conferencias que detallarán aspectos interesantes de su carrera. Profesores de la Universidad explicarán su papel como renovador de los ejércitos nacionales, su participación en batallas y asedios como el Montefrío o Loja, y los años finales de su vida, entre otras cosas. Serán conferencias que se alargarán desde el 10 de febrero hasta el 11 de junio, tal y como anunció recientemente el Ayuntamiento. Mientras tanto, a la espera del comienzo de las charlas, queda todo un legado de rincones que recuerdan el paso del Gran Capitán por Granada. Son cinco lugares clave en su vida, espacios que pueden ser visitados y en los que Fernández de Córdoba demostró su habilidad como soldado y su lealtad a la Corona.
     Castillo de Montefrío.
Aunque apenas permanecen unos muros en pie, la altura de los restos dan cuenta aún hoy de la gesta que aquel 26 de junio de 1486 se vivió en la localidad. Las tropas reales, entre las que se encontraba Gonzalo Fernández de Córdoba, intentaban entonces deshacer el cerrojo defensivo del reino Nazarí en su frontera norte. La conquista de Moclín, uno de los bastiones de la zona, determinó a la élite militar cercenar todos los castillos que quedaban en poder de la Corona granadina.
Uno de los más importantes era Montefrío. Las tropas alcanzaron la fortaleza el día 20 de junio y al día siguiente se inició un asedio que se resolvería muy rápidamente. El 21 se inició la tala alrededor del castillo, un paso previo al comienzo del asalto. Durante varios días, los ejércitos reales lanzaron varios asaltos con escaso resultado. Finalmente, Gonzalo Fernández de Córdoba se decidió a colocarse al frente de la soldadesca y, tras conminarlo a honrar los deseos de los Reyes Católicos, escaló los muros y se enfrentó personalmente a los defensores, que capitularon sin más demora.
La conquista de la localidad y los cambios provocados en las primeras dos centurias de gestión española determinaron la desaparición de aquella formidable fortaleza. Apenas restan pequeños lienzos de muralla. Sin embargo, la visita a la Alcazaba de Montefrío sigue siendo imprescindible para todos los amantes de la historia por su paisaje y por su condición de escenario de uno de los episodios más vibrantes de la vida del Gran Capitán.
     Alcazaba de Loja.
Loja es una de las ciudades más íntimamente ligadas al Gran Capitán. El héroe militar fue clave en la toma de su fortaleza, un bastión que funcionaba como cerrojo de Granada en su límite occidental. Pero más allá de lo sucedido en 1486, Fernández de Córdoba ejerció como alcaide de la localidad hasta sus últimos días.
 El último año de vida del Gran Capitán fue ensombrecido por la vigilancia a la que el rey Fernando le sometió. Su salida de Nápoles tras el triste episodio de las cuentas y fruto de las envidias cortesanas llevó de vuelta al héroe a sus ciudades. En Loja aguardó durante un tiempo, mientras en la Corte el rey era informado de las supuestas pretensiones de Fernández de Córdoba de regresar a Nápoles y alzarse con el reino al completo. Tal y como desvela el profesor Antonio López Ruiz en su artículo 'Una misión confidencial del alcaide de La Peza: impedir la huida a Italia del Gran Capitán', el héroe habría diseñado una estrategia para escapar de la Península y volver a Nápoles, un lugar en el que mantenía muchos apoyos. Preveía una ruta que conectaba Loja con Castell de Ferro a través de Archidona y Málaga, donde dos barcos lo llevarían hasta Italia. Sin embargo, los espías de la Corona, dirigidos por el alcaide de La Peza, no fueron capaces de revelar más movimientos de Fernández de Córdoba que los realizados hasta Archidona, viajes que podrían deberse a su papel como gestor de las tierras de Loja y alrededores. Tampoco encontraron rastro de los dos barcos que debían aguardar al militar.
Nunca se sabrá a ciencia cierta si la estrategia fue real o una nueva invención de los innumerables enemigos que el Gran Capitán tenía en la corte, pero lo cierto es que el héroe pasó muchos meses de aquel 1515 definitivo en Loja. La ciudad fue una de las últimas que pisó antes de fallecer, una vecindad que solo abandonó a finales de noviembre para alcanzar Granada, donde expiraría el 2 de diciembre de aquel año.
Altar Mayor del Monasterio S. Jerónimo

     La Madraza.
El Palacio de la Madraza que hoy pertenece felizmente a la Universidad de Granada fue testigo de los primeros pasos del cabildo municipal de la ciudad. En sus salas se reunieron los caballeros 24, antecedente de los actuales concejales, durante siglos. Entre ellos se contaba a Gonzalo Fernández de Córdoba, un dato que ha pasado desconocido durante mucho tiempo y que recordara el profesor José Antonio López Nevot, catedrático de Historia del Derecho de la UGR, durante la conferencia inaugural de las I Jornadas dedicadas a la Toma de Granada en 2011.
El héroe fue nombrado caballero 24 de Granada por el rey Fernando en persona, un puesto que sin embargo apenas ejerció dado su papel al frente de las tropas reales en Nápoles en los años siguientes a la conquista granadina. Esto provocó una tirante relación con el Cabildo, que se negó a pagar las dietas al héroe debido a su prolongada ausencia.
Hoy de aquella Madraza que gestionó la capital nazarí no resta nada. Siglos después el Consistorio se trasladó a la Plaza del Carmen, donde hoy en día sigue rigiendo los destinos de la ciudad. Pese a esto, la visita por este punto granadino sigue siendo obligatorio para todos como punto relacionado con la vida del Gran Capitán.
     Plaza de las Descalzas.
En el límite occidental del Realejo se abre la recoleta plaza de las Descalzas. Allí se alzan dos edificios relacionados directamente con los últimos instantes de Gonzalo Fernández de Córdoba. Anexo al templo del Convento de las Descalzas estuvo la última casa que habitó el héroe. De aquel hogar resta una hornacina y una lápida que recuerda el paso del Gran Capitán.
Las crónicas recuerdan que a finales de noviembre de aquel 1515 el genio militar era un anciano aquejado de una gravísima enfermedad. Impedido para gestionar los designios de Loja y previendo el final de sus días, Fernández de Córdoba alcanzó Granada con la intención de morir en la ciudad de sus sueños. Los últimos días los pasó en su hogar, en la plaza de las Descalzas, donde realizó testamento el 30 de noviembre. Solo dos jornadas después, el 2 de diciembre, expiró. Las exequias en memoria del gran genio militar se celebraron inmediatamente. Su cuerpo fue honrado durante nueve días en la Casa Grande de San Francisco, un convento que se situaba también en la actual plaza de las Descalzas, donde se alza hoy en día el MADOC. Allí descansó durante los años en que finalizaban las obras del que sería su lugar de reposo eterno.
     Monasterio de San Jerónimo.
Las calles Duquesa y Gran Capitán que rodean el Monasterio de San Jerónimo dan pistas sobre la relación del lugar con Gonzalo Fernández de Córdoba. Este majestuoso templo guarda desde hace siglos los restos del héroe. Su construcción se inició en tiempos de los Reyes Católicos, que trasladaron hasta aquí a la orden jerónima desde su primitivo asentamiento en Santa Fe. Las líneas actuales del templo se deben esencialmente a Diego de Siloé, aunque también trabajaron en la obra genios de la talla de Jacobo Florentino, Juan de Aragón, Juan Bautista Vázquez el Mozo, Pedro de Orea y Pablo de Rojas.
En 1522, una vez acondicionado el templo, fue cuando se trasladaron los restos de Gonzalo Fernández de Córdoba hasta el monasterio. Hoy reposan bajo el altar mayor de la iglesia, donde una lápida recuerda este importante hecho.



martes, 2 de diciembre de 2014

Reyes y motes.

A Felipe III se le conocía como El Piadoso, porque rezaba nueve rosarios al día, uno por cada mes que Jesucristo pasó en el vientre de su madre. A Carlos II, se le llamó El Hechizado dada la cantidad de taras psíquicas y físicas que arrastraba. Carlos IV no tuvo ningún problema con su mote: El cazador, por sus innegables habilidades cinegéticas. Sólo en 1805 cazó 2.016 conejos, 16 jabalíes, 214 lobos, 3 gatos, 35 venados, 195 tórtolas y 206 palomas, entre otros centenares de animales. 
Sancho III fue El Deseado; Alfonso XII, El Pacificador; Jaime II, El Justo... Apodar a los reyes según sus virtudes y también sus defectos fue costumbre hasta hace relativamente poco tiempo. Así, hay monarcas de quienes se resaltó su comedimiento, como Felipe II, El Prudente; la solidez y el acierto de su gobierno, Fernando I, El Grande; su belleza, Felipe I, El Hermoso; sus facultades musicales, Teobaldo I, El Trovador, o su afición a la bebida, José I, más conocido como Pepe Botella.

José María Solé cuenta en su libro Apodos de los reyes de España el motivo de muchos de estos motes, casi un centenar, y la historia de los mismos. Desde los laudatorios El Sabio, El Noble, El Benigno; hasta los que señalan actitudes censurables: El Intruso, El Temblón, El Fratricida; incluso determinadas características y defectos físicos: El Tuerto, El Jorobado, El Calvo, El Gordo. A Ramón Berenguer II se le llamó Cabeza de estopa, por el color rubio de sus cabellos, y a Enrique IV, El Impotente, algo que necesita una explicación, ya que para dar testimonio de que los matrimonios reales se consumaban, buena parte de la corte -nobles, validos, algún obispo, criadas, médicos, bufones de palacio- asistía al delicado momento de la concepción, con lo que no es raro que quien más quien menos se acabara arrugando.
Hay también monarcas que tuvieron más de un mote, a veces contradictorio. Así, a Felipe V se le conoció primero como El Animoso y después como El Melancólico. Igual que a Pedro I, a quien parte de sus súbditos llamaron El Cruel y otros El Justiciero. O Fernando VII, que fue El Deseado para unos y El Felón para otros, dado que su reinado fue de los más indeseado. Luego está el Conde García Fernández, todo un hombretón, batallador y vengativo a quien se conoció como El de las Blancas Manos, tan blancas que siempre las llevaba enguantadas.
Fuente: Muy Interesante.

viernes, 7 de noviembre de 2014

L´amour. Effeuiller la marguerite.

La Simplicité. Jean Baptiste Greuze. 1759.

Effeuiller la marguerite est un jeu qui est censé refléter les sentiments de l'être aimé.
La personne qui y joue associe chaque partie de la ritournelle : « elle (il) m'aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout » à un des pétales d'une marguerite, et ôte ce pétale. La partie de la phrase associée au dernier pétale est censée refléter les sentiments de la personne à qui elle s'adresse. Le jeu est pratiqué dans plusieurs pays.
"Je t'aime, je t'adore, plus que l'or,"
"mais l'or est pour le roi, et toi pour moi."
SOURCE: Wikipedia.

viernes, 24 de octubre de 2014

La couleur bleue


avoir le sang bleu: être d'origine noble
avoir les bleus: être triste, mélancolique
casque bleu: soldat de l'ONU
conte bleu: discours mensonger
colère bleue: colère violente
cordon bleu: personne très habile en cuisine
du gros bleu: vin rouge de mauvaise qualité
détenir le ruban bleu: avoir la première place
donner son bleu à quelqu'un: le renvoyer
col bleu: ouvrier
en être tout bleu: être figé d'étonnement
être blanc-bleu: avoir une réputation intacte
être bleu de quelqu'un (_expression belge): être amoureux fou
être chocolat bleu pâle (_expression belge): être mal en point, avoir mal au coeur
être dans le bleu: être dans l'incertitude, être dans un rêve
être fleur bleue: être candide, être naïf
faire le bleu: sécher les cours
la grande bleue: la mer Méditerranée
la planète bleue: la planète Terre
l'heure bleue: moment qui précède l'aube
l'or bleu: richesse représentée par la mer et le tourisme qui y est lié
menton bleu: menton rasé laissant deviner:une barbe très noire
n'y voir que du bleu: n'y rien voir
papier bleu: acte d'huissier
passer au bleu: oublier dans un but précis
steak bleu: steak grillé extérieurement mais cru à l'intérieur
un petit bleu: télégramme
un bas-bleu:une femme savante et ridicule
un bleu: combinaison de travail en toile bleue
un bleu: jeune recrue à l'armée
un bleu: un hématome

SOURCE: J¨aime le français. https://www.facebook.com/FrenchPage

lunes, 23 de junio de 2014

Siglo XVII. Anécdotas.

El Cardenal RICHELIEU y los Gatos.




Cardenal, noble y hombre de Estado que manejó los hilos del poder en la Francia del siglo XVII. Su nombre de cuna era Armand Jean du Plessis (1585-1642), y fue cardenal y duque de Richelieu, duque de Fonsac y superministro de Luis XIII. Sin duda era el hombre más poderoso del Paris de su tiempo, pero tenía una debilidad: los gatos. Este aristócrata descendiente de la nobleza de Poitou, gran mecenas del arte y fundador de la Academia Francesa, apodado L'Éminence rouge por su eterna vestimenta púrpura propia del cardenalato, compartía su casa con 14 felinos, casi todos de raza de angora.

Entre ellos destacaban Lucifer, de pelo negro y carácter salvaje; Gazette, que tenía la costumbre de orinar sobre los invitados que no le gustaban; Ludovico el Cruel, tremendo cazador de ratones, y su pareja, la gata polaca Ludoviska; Serpolet, aficionado a tomar el sol; Príamo y Tisba, que dormían enlazados como los legendarios amantes; y Soumise, que era la gata favorita de Richelieu. Su Eminencia reservó para ellos una habitación especial en la corte y les daba de comer a base de patés de pollo. Siempre estaba rodeado de sus mininos, a los que encomendó la misión de proteger los libros de la biblioteca real de los omnipresentes ratones.

A lo largo de su vida, el cardenal amasó una cuantiosa fortuna de 20 millones de libras, de los cuales a su muerte legó un millón al rey, pero también se acordó en su testamento de sus queridos felinos: les dejó en herencia una casa, comida asegurada mediante una cuantiosa asignación económica y dos cuidadores encargados de que no les faltase de nada.
 FUENTE: MUY INTERESANTE.: ¿Quién dejó parte de su fortuna a los gatos?
http://www.muyinteresante.es/historia/preguntas-respuestas/quien-dejo-parte-de-su-fortuna-a-sus-gatos-861395913011
Duque de Lerma a caballo de Rubens.
EN EL SIGLO XVII SE DIO EL CASO DE CORRUPCIÓN URBANÍSTICA MÁS IMPORTANTE DE LA HISTORIA.
Javier SANZ.  6 Marzo 2012. Historias de la Historia.

El 13 de septiembre de 1598 fallecía Felipe II y era coronado su hijo Felipe III. La primera media que tomó fue nombrar a su amigo Francisco de Sandoval, por aquel entonces marqués de Denia, valido del rey (puesto de confianza por nombramiento directo del rey y que se ocupaba de las cuestiones de Estado). Como el rey estaba preocupado por cuestiones ajenas a la política (el teatro, la pintura o la caza) su valido ejerció como verdadero rey de España; se rodeó de un equipo de gente de su confianza y distribuyó los puestos más importantes de la corte entre miembros de su familia y amigos. Además, en 1599, le otorgó el título de duque de Lerma .
El duque de Lerma comenzó a mover los hilos y en 1601 trasladó la corte de Madrid a Valladolid. La teoría fue que lo hacía por alejar al rey de la influencia de su tía y abuela María de Austria; al rey fue suficiente con decirle que en Valladolid había mejores campos para cazar. Pero la realidad era bien distinta… el enriquecimiento. Seis meses antes del traslado, el duque de Lerma había comprado varios solares, casas y terrenos en Valladolid que, lógicamente, con la presencia de la corte supusieron un pelotazo en toda regla. En 1605 vendió a la corona la zona conocida como Huerta de la Ribera por 30 millones de maravedíes, por eso hoy se llama la Huerta del Rey. Pero todavía quedaba la jugada maestra… el 30 de enero de 1606 la corte regresaba a Madrid.
Madrid negoció la vuelta de la corte con el duque de Lerma, tras pactar un sustancioso donativo de 250.000 ducados (unos 93 millones de maravedíes); de esta cantidad se entregó una tercera parte al valido del rey y el resto a la Corona. Además, y en connivencia con el alcalde de Madrid, el duque había hecho alguna pequeña inversión cuando los precios habían caído en Madrid tras el traslado a Valladolid y que, casualidades de la vida, volvieron a dispararse con el regreso de la Corona.
Cuando su entramado de corrupción fue descubierto y comenzaron a rodar cabezas… aún tenía un as en la manga: solicitó de Roma el capelo cardenalicio que se le concedió en 1618, al mismo tiempo que el rey le daba permiso para retirarse a sus propiedades de la ciudad de Lerma. Murió en Valladolid en 1625. El pueblo le cantó:
Para no morir ahorcado,
el mayor ladrón de España,
se viste de colorado.

Fuentes: La corte en Valladolid, Madrid Histórico,




lunes, 26 de mayo de 2014

ALASKA. De Rusia a EE.UU.


¿Por qué Rusia vendió Alaska a EE.UU.? 
Los norteamericanos pagaron US$ 7,2 millones por el enorme territorio de hielo tras un acuerdo firmado en 1867. Por GUEORGUI MANÁIEVRBTH

¿Cómo dejaron perder las autoridades zaristas un bocado tan apetitoso? RBTH examina la enmarañada historia de la venta de un territorio ahora estratégico.
El pedido de adhesión de Alaska a Rusia, publicado en el sitio web de la Casa Blanca , ha recogido ya más de 35.000 firmas. Son muchos los que todavía creen que los norteamericanos robaron Alaska a Rusia, que la alquilaron y no la devolvieron a sus dueños, pero en contra de los mitos populares, la transacción fue justa y ambas partes tenían razones de peso para llevarla a cabo.
En el siglo XIX, la Alaska rusa era un centro de comercio internacional. En su capital, Novoarján-guelsk (actual Sitka), se vendían telas chinas, té e incluso el hielo que se utilizaba en los EE.UU. antes de que se inventaran los frigoríficos. Se extraía carbón y se construyeron barcos y fábricas. Ya entonces se tenía conocimiento de los numerosos yacimientos locales de oro. Vender algo así parecía una locura.

Una mina de oro
A los comerciantes rusos les atraía de Alaska el marfil de morsa, cuyo precio no era inferior al de elefante, y las preciosas pieles de nutria de mar que obtenían gracias al true-que con los aborígenes. Estas actividades estaban concentradas en manos de la Compañía Ruso-Norteamericana (conocida por sus si-glas en ruso, RAK). La dirigían personas valientes, empresarios rusos del siglo XVIII, viajeros atrevidos y otros que se dedicaban al comercio ilegal. Todos los yacimientos de Alaska pertenecían a la compañía, que podía alcanzar de manera independiente contratos comerciales con otros países, contaba con bandera y moneda propia (los marcos de cuero). Los privilegios se los concedió a la RAK el gobierno zarista que no solo cobraba unos altísimos impuestos sino que tenía entre sus filas de accionistas a zares y miembros de su familia. El gobernador principal de los asentamientos rusos fue un comerciante de gran talento llamado Alexánder Baránov.
Con Baránov la Compañía Ruso-Norteamericana gozaba de unos ingresos cuantiosos: ¡más del 1000% de beneficios! Pero cuando, ya anciano, se apartó del negocio, su puesto fue ocupado por el teniente comandante Gagermeister, que trajo un nuevo equipo de empleados y accionistas procedentes de círculos militares. Desde entonces, según un decreto oficial, la compañía solo podían dirigirla oficiales de la Marina. Los siloviks, antiguos miembros de los servicios de seguridad, que se hicieron con el poder de la ventajosa empresa. Sus acciones hicieron quebrar la compañía.
Los nuevos propietarios se asignaron salarios astronómicos: los oficiales subalternos percibían 1500 rublos al año -un sueldo comparable a los de los ministros y senadores- y el jefe de la compañía, 150.000 rublos. Por otro lado, los precios de las pieles compradas por la población local se redujeron a la mitad. Como resultado, durante las dos décadas siguientes los esquimales y aleutianos exterminaron a casi todas las nutrias, privando a Alaska de su recurso más lucrativo. Los aborígenes cayeron en la miseria y comenzaron a sublevarse, levantamientos que los rusos sofocaban abriendo fuego contra las aldeas ribereñas con sus buques de guerra.
Los oficiales trataron de encontrar otras fuentes de ingresos. Fue entonces cuando empezaron a comerciar con hielo y té, alternativas que los empresarios no consiguieron organizar de manera sensata, pero los directivos ni siquiera pensaron en ponerse salarios más bajos. Finalmente a la Compañía Ruso-Norteamericana le acabaron asignando una dotación gubernamental de 200.000 rublos al año. Pero esto tampoco la salvó.


 La bandera rusa no quería ser arriada
En ese mismo período estalló la guerra de Crimea, en la que Rusia combatió contra Inglaterra, Francia y Turquía. Luego quedó claro que el país no sería capaz de abastecer y proteger a Alaska: las vías marítimas estaban controladas por los barcos de los aliados. Incluso la perspectiva de la extracción del oro empezó a no verse clara. Temían que una Inglaterra hostil pudiera bloquear Alaska, dejando a Rusia sin nada. A pesar de la creciente tensión entre Moscú y Londres, las relaciones con las autoridades norteamericanas eran cordiales, y la idea de vender Alaska surgió casi de forma simultánea por parte de ambos lados. El barón Eduard de Stoeckl, enviado por Rusia a Washington, entabló las negociaciones en nombre del zar, junto con el secretario de Estado norteamericano William Seward.
Mientras las autoridades se ponían de acuerdo, la opinión pública de ambos países se oponía a la transacción."¿Cómo vamos a entregarles tierras en cuyo desarrollo hemos invertido tanto tiempo y esfuerzo, donde se abrieron minas de oro y líneas telegráficas?", escribían los periódicos rusos. "¿Para qué necesita Estados Unidos ese cofre de hielo y 50.000 esquimales salvajes que beben aceite de pescado para desayunar?", se escandalizaba la prensa norteamericana con el apoyo del Senado y el Congreso.
Aún así, el 30 de marzo de 1867, se firmó en Washington el contrato de venta de 1,5 millones de hectáreas de posesiones rusas a Estados Unidos por US$7,2 millones, suma puramente simbólica. No se venden tan barato ni siquiera las tierras yermas de Siberia. Pero la situación era crítica: incluso podían quedarse con el territorio sin percibir esa cantidad.
La transferencia oficial se celebró en Novoarjánguelsk. Tropas estadounidenses y rusas se apostaron junto a un mástil del que empezaron a arriar la bandera de Rusia después de una salva de cañones. Pero la bandera se enredó en la parte superior del mástil. Un marinero que se encaramó a la bandera la arrojó y por casualidad cayó directamente sobre las bayonetas rusas. ¡Una mala señal! Después, los norteamericanos comenzaron a requisar los edificios de la ciudad, que fue rebautizada con el nombre de Sitka. Varios centenares de rusos, decididos a no aceptar la ciudadanía norteamericana, fueron obligados a evacuar la zona a bordo de barcos mercantes y no pudieron volver a sus casas hasta pasado un año. No tardó mucho en llegar la fiebre del oro de Klondike al "cofre de hielo": este frenesí de inmigración en pos de prospecciones auríferas aportó a EE.UU. cientos de millones de dólares. Cabe preguntarse entonces cómo habrían sido las relaciones entre las principales potencias del mundo si Rusia no se hubiera librado en su momento de una región problemática y deficitaria, de la cual solo podían obtener ingresos comerciantes talentosos y audaces, pero de ningún modo oficiales de la Marina.
Alexander Baranov
Lo llamaban el Pizarro ruso
Alexánder Baránov, al que le gustaba que se refiriesen a él como el Pizarro ruso, construyó escuelas y fábricas, además de una fortaleza y un astillero. También introdujo a los aborígenes en el cultivo de nabos y papas. Extendió en el territorio la práctica de la pesca de las nutrias de mar. Con Baránov la Compañía Ruso-Norteamericana gozó de ingresos astronómicos. El amor de Baránov por Alaska iba más allá de las razones puramente económicas, ya que se enamoró de la hija de un caudillo aleutiano, con la que se casó. Se apartó del lucrativo negocio, que él mismo hizo florecer, ya anciano, siendo sustituido por el teniente comandante Gagermeister, que trajo un nuevo equipo de empleados y accionistas procedentes de círculos militares. Desde entonces, según un decreto oficial, la compañía sólo podían dirigirla oficiales de la Marina. Estos terminaron por acaparar todas las acciones de la compañía, llevándola finalmente a la quiebra y luego a su desaparición.
FUENTE: lanacion.com 22 de mayo del 2014