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martes, 10 de septiembre de 2019
jueves, 1 de noviembre de 2018
LA TOUSSAINT. Le Figaro.
![]() |
Cementerio de Nuestra Señora de la Salud. Córdoba. |
INTERVIEW - le 1er novembre, jour de « tous les saints »
inaugure le mois des morts. Louis Manaranche, agrégé d'histoire et président du
laboratoire d'idées Fonder demain, revient sur l'origine et l'histoire de ces
expressions chrétiennes.
La Toussaint, littéralement, «fête de tous les saints» ouvre chaque année
le mois des morts. Célébration unique dans le calendrier liturgique, elle est
l'occasion de fleurir les tombes de nos défunts. Mais d'où vient-elle? Ne
concerne-t-elle vraiment que les chrétiens et a fortiori les hommes et femmes
sanctifiés? Louis Manaranche, agrégé d'histoire et président du laboratoire
d'idées Fonder demain, revient sur cette fête qui nous invite, une fois par an,
«à méditer sur la fin de la vie».
LE FIGARO - Comment est née la Toussaint et que
signifie-t-elle?
Louis
Manaranche - La Toussaint est née de la volonté du pape
Grégoire IV, qui a ajouté, en 835, une fête en l'honneur non seulement des
nombreux martyrs que les chrétiens ont très tôt célébrés collectivement, mais
de tous les saints. La date choisie, le premier novembre, s'est alors imposée à
l'Église universelle.
La Toussaint signifie donc littéralement la fête de tous
les saints. Mais attention, c'est là que se cache l'équivoque. Elle ne désigne
pas uniquement la fête de tous les saints qui ont été officiellement canonisés
par l'Église. En réalité, c'est la fête de tous les saints, au sens de tous les
baptisés qui sont entrés dans la vie éternelle, tous ceux qui sont au ciel.
Dans la tradition catholique, on croit en effet à
l'existence d'un état d'attente après la mort. Il est incarné par le
Purgatoire. Là-bas, les âmes doivent être purifiées et lavées de tout ce qui
les retient encore loin de Dieu. C'est à leur intention que l'on prie le 2
novembre, depuis que les moines de Cluny ont institué cette fête à la fin du Xe
siècle. Le 1er novembre, c'est le jour où sont célébrés tous ceux qui ont été
élus, ceux qui ont rejoint Dieu, au ciel, dans la joie de la vie éternelle.
La Toussaint n'est donc pas le jour des morts...C'est à la fois vrai et faux. Car, pour être saint, au
sens de la Toussaint, c'est-à-dire dans la contemplation éternelle de Dieu, il
faut être mort. En un sens donc, la Toussaint est bien liée à la mort. Et puis,
rappelons que la coutume en a fait un moment pour aller au cimetière. Il y a
donc bien là aussi l'idée de communier avec les défunts qu'on a connus. Le 1er novembre
et le 2 novembre sont deux fêtes qui participent du même Mystère, à savoir
l'appel de l'homme à connaître la vie éternelle.
C'est donc pour cela que l'on a pour habitude de dire que
la Toussaint ouvre le mois des morts?
Oui, pour ces deux raisons. Mais il faut aussi préciser
qu'il s'est rajouté, depuis le XXe siècle, en Occident, le 11 novembre. En
France comme en Angleterre, après l'hémorragie colossale de la guerre de 14-18,
le 11 novembre a consacré encore davantage le mois de novembre aux morts en
Europe. Les monuments aux morts sont d'ailleurs fleuris avec des chrysanthèmes.
Des fleurs de saison que l'on a pris pour habitude de déposer sur les tombes au
moment de la Toussaint.
Dans une société aussi déchristianisée que la nôtre,
peut-on vraiment penser que la Toussaint a encore une portée chrétienne?
N'aurait-elle pas seulement une portée traditionnelle comme Noël ou Pâques?
Le fait d'aller fleurir des tombes à la Toussaint induit
une dimension bien moins festive que Noël. Mais bien des coutumes ancrées dans
la tradition catholique restent vivaces. Dans certaines régions rurales de
France, la coutume de la bénédiction des tombes existe encore. Le prêtre se
rend au cimetière, traditionnellement après la messe, pour asperger les tombes
d'eau bénite en souvenir du baptême de ces défunts. Souvent, de même, le
fleurissement des tombes s'accompagne d'une petite prière ou d'un signe de
croix.
Plus largement, cette fête permet à l'homme contemporain
de questionner le rapport de nos sociétés déchristianisées à la mort. Une fois
par an, elle nous invite à méditer sur la fin de la vie alors même que la mort
a largement été évacuée de nos sociétés, comme si ce n'était plus un fait
crucial. Aujourd'hui on enterre rapidement, on veille rarement les morts, la crémation
a pris une grande importance et les rites autour du corps qui en découlaient se
sont évanouis.
Songez par exemple aux obsèques que l'on faisait encore
jusque dans les années 1960 à Paris. L'Église était tendue de noir, le domicile
du défunt aussi. Aujourd'hui, tout ceci serait impensable. On ne pourrait pas
voir des cortèges funéraires dans nos rues. Pourtant, même dans une société
déchristianisée, la Toussaint est l'occasion de confronter l'homme contemporain
à la mort. Elle
n'a rien perdu de sa dimension spirituelle.
lunes, 7 de noviembre de 2016
sábado, 26 de diciembre de 2015
Une brève histoire du Père Noël
SOURCE: LE MONDE.
miércoles, 23 de septiembre de 2015
Estaciones
Hoy damos la bienvenida al Otoño, estación que Goya representó en uno de
sus cartones para tapices relacionándola con la vendimia. Este cartón
forma parte de una serie con el tema de las Cuatro Estaciones y otras
escenas campestres, de la cual el museo del Prado conserva once cartones.
ÉQUINOXE D´AUTOMNE.
Publicado el 21 de septiembre del 2018.
martes, 28 de abril de 2015
Los secretos de Keops, Tutankamon
Mucho se ha dicho y escrito sobre el desafío técnico que supone la pirámide de Keops, desde propuestas sensatas hasta comentarios sin sentido relacionándola con extraterrestres.
Si queréis conocerla mejor, mirad este interesante vídeo. Y otro que relaciona las pirámides con los mitos tradicionales egipcios como el de Osiris.
TUTANKAMON. Sarcófago.
Si queréis conocerla mejor, mirad este interesante vídeo. Y otro que relaciona las pirámides con los mitos tradicionales egipcios como el de Osiris.
TUTANKAMON. Sarcófago.
Por años se ha creído que Tutankamón fue hijo del faraón Akhenaten y de
una de sus hermanas, sin embargo, nueva evidencia parece indicar que
Nefertiti fue la verdadera madre del faraón maldito.
Tutankamón fue faraón de Egipto durante la dinastía XVIII (1335-1325
a.c.). Fue coronado aproximadamente a los ocho años de edad, tras la
muerte de su padre Akhenaten (conocido por establecer el monoteísmo en
Egipto, bajo la adoración del dios solar Atón). Su reinado duró apenas 9
años, durante el cual restituyó el politeísmo y las viejas costumbres.
Tutankamón murió a la corta edad de 19 años.
El linaje de Tutankamón nunca ha estado del todo claro. Estudios
genéticos llevados a cabo en 2005 por un equipo internacional de
investigadores comprobaron la ascendencia patriarcal de Akhenaten a la
vez que sugerían que el faraón era el producto incestuoso de Akhenaten y
una de sus cinco hermanas. El hecho de que Tutankamón presentara
algunas malformaciones congénitas como un pie deforme, leve paladar
hendido y una ligera escoliosis, parecían confirmar dicha hipótesis.
Sin embargo, nuevas pruebas genéticas llevadas a cabo por Marc Gabolde,
director de la expedición arqueológica de la Universidad Paul
Valery-Montpellier III, parecen indicar que la madre de Tutankamón fue
en realidad Nefertititi, la prima hermana de Akhenaten. Gabolde
argumenta que las malformaciones de Tutankamón son resultado del
consecutivo matrimonio entre tres generaciones de primos hermanos.
Si bien el reino de Tutankamón fue poco relevante, el faraón se ha hecho
famoso por la misteriosa muerte que persiguió a quienes descubrieron su
exuberante tumba. Actualmente se cree que el aire enclaustrado en la
cripta albergaba hongos microscópicos, factor que provocó la enfermedad
de quienes ingresaron a ella en 1922.
Fuente: National Geograhpy en español. http://www.ngenespanol.com/fotografia/lo-mas/13/02/13/descubre-nefertiti-madre-tutankamon.html
lunes, 12 de enero de 2015
Gonzalo Fernández de Córdoba, el Gran Capitán.
El Gran Capitán y Granada. En el 500 aniversario de su fallecimiento.
"Tras los pasos del Gran Capitán".
Pablo Rodríguez. El IDEAL de Granada.
Granada, como último acomodo del héroe, honrará su memoria con una serie de conferencias
que detallarán aspectos interesantes de su carrera. Profesores de la
Universidad explicarán su papel como renovador de los ejércitos
nacionales, su participación en batallas y asedios como el Montefrío o
Loja, y los años finales de su vida, entre otras cosas. Serán
conferencias que se alargarán desde el 10 de febrero hasta el 11 de
junio, tal y como anunció recientemente el Ayuntamiento. Mientras tanto,
a la espera del comienzo de las charlas, queda todo un legado de
rincones que recuerdan el paso del Gran Capitán por Granada. Son cinco
lugares clave en su vida, espacios que pueden ser visitados y en los que
Fernández de Córdoba demostró su habilidad como soldado y su lealtad a
la Corona.
Castillo de Montefrío.
Aunque apenas permanecen unos muros en pie, la altura de los restos dan cuenta aún hoy de la gesta que aquel 26 de junio de 1486 se vivió en la localidad.
Las tropas reales, entre las que se encontraba Gonzalo Fernández de
Córdoba, intentaban entonces deshacer el cerrojo defensivo del reino
Nazarí en su frontera norte. La conquista de Moclín, uno de los
bastiones de la zona, determinó a la élite militar cercenar todos los
castillos que quedaban en poder de la Corona granadina.
Uno de los más importantes era Montefrío. Las tropas alcanzaron la
fortaleza el día 20 de junio y al día siguiente se inició un asedio que
se resolvería muy rápidamente. El 21 se inició la tala alrededor del
castillo, un paso previo al comienzo del asalto. Durante varios días,
los ejércitos reales lanzaron varios asaltos con escaso resultado.
Finalmente, Gonzalo Fernández de Córdoba se decidió a colocarse al
frente de la soldadesca y, tras conminarlo a honrar los deseos de los
Reyes Católicos, escaló los muros y se enfrentó personalmente a los
defensores, que capitularon sin más demora.
La conquista de la localidad y los cambios provocados en las primeras
dos centurias de gestión española determinaron la desaparición de
aquella formidable fortaleza. Apenas restan pequeños lienzos de muralla.
Sin embargo, la visita a la Alcazaba de Montefrío sigue siendo
imprescindible para todos los amantes de la historia por su paisaje y
por su condición de escenario de uno de los episodios más vibrantes de
la vida del Gran Capitán.
Alcazaba de Loja.
Loja es una de las ciudades más íntimamente ligadas al Gran Capitán. El héroe militar fue clave en la toma de su fortaleza, un bastión que funcionaba como cerrojo de Granada
en su límite occidental. Pero más allá de lo sucedido en 1486,
Fernández de Córdoba ejerció como alcaide de la localidad hasta sus
últimos días.
El último año de vida del Gran Capitán fue ensombrecido por la
vigilancia a la que el rey Fernando le sometió. Su salida de Nápoles
tras el triste episodio de las cuentas y fruto de las envidias
cortesanas llevó de vuelta al héroe a sus ciudades. En Loja aguardó
durante un tiempo, mientras en la Corte el rey era informado de las
supuestas pretensiones de Fernández de Córdoba de regresar a Nápoles y
alzarse con el reino al completo. Tal y como desvela el profesor Antonio
López Ruiz en su artículo 'Una misión confidencial del alcaide de La
Peza: impedir la huida a Italia del Gran Capitán', el héroe habría
diseñado una estrategia para escapar de la Península y volver a Nápoles,
un lugar en el que mantenía muchos apoyos. Preveía una ruta que
conectaba Loja con Castell de Ferro a través de Archidona y Málaga,
donde dos barcos lo llevarían hasta Italia. Sin embargo, los espías de
la Corona, dirigidos por el alcaide de La Peza, no fueron capaces de
revelar más movimientos de Fernández de Córdoba que los realizados hasta
Archidona, viajes que podrían deberse a su papel como gestor de las
tierras de Loja y alrededores. Tampoco encontraron rastro de los dos
barcos que debían aguardar al militar.
Nunca se sabrá a ciencia cierta si la estrategia fue real o una nueva
invención de los innumerables enemigos que el Gran Capitán tenía en la
corte, pero lo cierto es que el héroe pasó muchos meses de aquel 1515
definitivo en Loja. La ciudad fue una de las últimas que pisó antes de
fallecer, una vecindad que solo abandonó a finales de noviembre para
alcanzar Granada, donde expiraría el 2 de diciembre de aquel año.
martes, 2 de diciembre de 2014
Reyes y motes.
A Felipe III se le conocía como El Piadoso, porque rezaba nueve rosarios al día, uno por cada mes que Jesucristo pasó en el vientre de su madre. A Carlos II, se le llamó El Hechizado dada la cantidad de taras psíquicas y físicas que arrastraba. Carlos IV no tuvo ningún problema con su mote: El cazador,
por sus innegables habilidades cinegéticas. Sólo en 1805 cazó 2.016
conejos, 16 jabalíes, 214 lobos, 3 gatos, 35 venados, 195 tórtolas y 206
palomas, entre otros centenares de animales.
Sancho III fue El Deseado; Alfonso XII, El Pacificador; Jaime II, El Justo...
Apodar a los reyes según sus virtudes y también sus defectos fue
costumbre hasta hace relativamente poco tiempo. Así, hay monarcas de
quienes se resaltó su comedimiento, como Felipe II, El Prudente; la solidez y el acierto de su gobierno, Fernando I, El Grande; su belleza, Felipe I, El Hermoso; sus facultades musicales, Teobaldo I, El Trovador, o su afición a la bebida, José I, más conocido como Pepe Botella.
José María Solé cuenta en su libro Apodos de los reyes de España el motivo de muchos de estos motes, casi un centenar, y la historia de los mismos. Desde los laudatorios El Sabio, El Noble, El Benigno; hasta los que señalan actitudes censurables: El Intruso, El Temblón, El Fratricida; incluso determinadas características y defectos físicos: El Tuerto, El Jorobado, El Calvo, El Gordo. A Ramón Berenguer II se le llamó Cabeza de estopa, por el color rubio de sus cabellos, y a Enrique IV, El Impotente,
algo que necesita una explicación, ya que para dar testimonio de que
los matrimonios reales se consumaban, buena parte de la corte -nobles,
validos, algún obispo, criadas, médicos, bufones de palacio- asistía al
delicado momento de la concepción, con lo que no es raro que quien más
quien menos se acabara arrugando.
Hay también monarcas que tuvieron más de un mote, a veces contradictorio. Así, a Felipe V se le conoció primero como El Animoso y después como El Melancólico. Igual que a Pedro I, a quien parte de sus súbditos llamaron El Cruel y otros El Justiciero. O Fernando VII, que fue El Deseado para unos y El Felón
para otros, dado que su reinado fue de los más indeseado. Luego está el
Conde García Fernández, todo un hombretón, batallador y vengativo a
quien se conoció como El de las Blancas Manos, tan blancas que siempre las llevaba enguantadas.
Fuente: Muy Interesante.
viernes, 7 de noviembre de 2014
L´amour. Effeuiller la marguerite.
![]() |
La Simplicité. Jean Baptiste Greuze. 1759. |
Effeuiller la marguerite est un jeu qui est censé refléter les sentiments de l'être aimé.
La personne qui y joue associe chaque partie de la ritournelle : « elle (il) m'aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout » à un des pétales d'une marguerite, et ôte ce pétale. La partie de la phrase associée au dernier pétale est censée refléter les sentiments de la personne à qui elle s'adresse. Le jeu est pratiqué dans plusieurs pays.
"Je t'aime, je t'adore, plus que l'or,"
"mais l'or est pour le roi, et toi pour moi."
"mais l'or est pour le roi, et toi pour moi."
SOURCE: Wikipedia.
viernes, 24 de octubre de 2014
La couleur bleue
avoir le sang bleu: être d'origine noble
avoir les bleus: être triste, mélancolique
casque bleu: soldat de l'ONU
conte bleu: discours mensonger
colère bleue: colère violente
cordon bleu: personne très habile en cuisine
du gros bleu: vin rouge de mauvaise qualité
détenir le ruban bleu: avoir la première place
donner son bleu à quelqu'un: le renvoyer
col bleu: ouvrier
en être tout bleu: être figé d'étonnement
être blanc-bleu: avoir une réputation intacte
être bleu de quelqu'un (_expression belge): être amoureux fou
être chocolat bleu pâle (_expression belge): être mal en point, avoir mal au coeur
être dans le bleu: être dans l'incertitude, être dans un rêve
être fleur bleue: être candide, être naïf
faire le bleu: sécher les cours
la grande bleue: la mer Méditerranée
la planète bleue: la planète Terre
l'heure bleue: moment qui précède l'aube
l'or bleu: richesse représentée par la mer et le tourisme qui y est lié
menton bleu: menton rasé laissant deviner:une barbe très noire
n'y voir que du bleu: n'y rien voir
papier bleu: acte d'huissier
passer au bleu: oublier dans un but précis
steak bleu: steak grillé extérieurement mais cru à l'intérieur
un petit bleu: télégramme
un bas-bleu:une femme savante et ridicule
un bleu: combinaison de travail en toile bleue
un bleu: jeune recrue à l'armée
un bleu: un hématome
SOURCE: J¨aime le français. https://www.facebook.com/FrenchPage
lunes, 23 de junio de 2014
Siglo XVII. Anécdotas.
El Cardenal RICHELIEU y los Gatos.
Cardenal, noble y hombre
de Estado que manejó los hilos del poder en la Francia del siglo XVII. Su nombre de cuna era Armand Jean du Plessis (1585-1642), y fue
cardenal y duque de Richelieu, duque de Fonsac y superministro de Luis XIII. Sin duda era el hombre más
poderoso del Paris de su tiempo, pero tenía una debilidad: los gatos.
Este aristócrata descendiente de la nobleza de Poitou, gran mecenas del arte y
fundador de la Academia Francesa, apodado L'Éminence rouge por su eterna
vestimenta púrpura propia del cardenalato, compartía su casa con 14 felinos, casi todos de raza de
angora.
Entre ellos
destacaban Lucifer, de pelo negro y carácter salvaje; Gazette, que tenía la
costumbre de orinar sobre los invitados que no le gustaban; Ludovico el Cruel,
tremendo cazador de ratones, y su pareja, la gata polaca Ludoviska; Serpolet,
aficionado a tomar el sol; Príamo y Tisba, que dormían enlazados como los
legendarios amantes; y Soumise, que era la gata favorita de Richelieu. Su Eminencia reservó para
ellos una habitación especial en la corte y les daba de comer a base de patés
de pollo. Siempre estaba rodeado de sus
mininos, a los que encomendó la misión de proteger los libros de la biblioteca
real de los omnipresentes ratones.
A lo largo
de su vida, el cardenal amasó una cuantiosa fortuna de 20 millones de libras,
de los cuales a su muerte legó un millón al rey, pero también se acordó en su
testamento de sus queridos felinos: les dejó en herencia una casa, comida asegurada
mediante una cuantiosa asignación económica y dos cuidadores encargados de que
no les faltase de nada.
FUENTE: MUY INTERESANTE.: ¿Quién dejó parte de su fortuna a los gatos?
http://www.muyinteresante.es/historia/preguntas-respuestas/quien-dejo-parte-de-su-fortuna-a-sus-gatos-861395913011
EN EL SIGLO XVII SE DIO EL CASO DE CORRUPCIÓN URBANÍSTICA MÁS IMPORTANTE DE LA HISTORIA.
Javier SANZ. 6 Marzo 2012. Historias de la Historia.
El 13 de septiembre de 1598 fallecía Felipe II y era coronado su hijo Felipe III. La primera media que tomó fue nombrar a su amigo Francisco de Sandoval, por aquel entonces marqués de Denia, valido del rey (puesto de confianza por nombramiento directo del rey y que se ocupaba de las cuestiones de Estado). Como el rey estaba preocupado por cuestiones ajenas a la política (el teatro, la pintura o la caza) su valido ejerció como verdadero rey de España; se rodeó de un equipo de gente de su confianza y distribuyó los puestos más importantes de la corte entre miembros de su familia y amigos. Además, en 1599, le otorgó el título de duque de Lerma .
El duque de Lerma comenzó a mover los hilos y en 1601 trasladó la corte de Madrid a Valladolid. La teoría fue que lo hacía por alejar al rey de la influencia de su tía y abuela María de Austria; al rey fue suficiente con decirle que en Valladolid había mejores campos para cazar. Pero la realidad era bien distinta… el enriquecimiento. Seis meses antes del traslado, el duque de Lerma había comprado varios solares, casas y terrenos en Valladolid que, lógicamente, con la presencia de la corte supusieron un pelotazo en toda regla. En 1605 vendió a la corona la zona conocida como Huerta de la Ribera por 30 millones de maravedíes, por eso hoy se llama la Huerta del Rey. Pero todavía quedaba la jugada maestra… el 30 de enero de 1606 la corte regresaba a Madrid.
Madrid negoció la vuelta de la corte con el duque de Lerma, tras pactar un sustancioso donativo de 250.000 ducados (unos 93 millones de maravedíes); de esta cantidad se entregó una tercera parte al valido del rey y el resto a la Corona. Además, y en connivencia con el alcalde de Madrid, el duque había hecho alguna pequeña inversión cuando los precios habían caído en Madrid tras el traslado a Valladolid y que, casualidades de la vida, volvieron a dispararse con el regreso de la Corona.
Cuando su entramado de corrupción fue descubierto y comenzaron a rodar cabezas… aún tenía un as en la manga: solicitó de Roma el capelo cardenalicio que se le concedió en 1618, al mismo tiempo que el rey le daba permiso para retirarse a sus propiedades de la ciudad de Lerma. Murió en Valladolid en 1625. El pueblo le cantó:
Fuentes: La corte en Valladolid, Madrid Histórico,
![]() |
Duque de Lerma a caballo de Rubens. |
Javier SANZ. 6 Marzo 2012. Historias de la Historia.
El 13 de septiembre de 1598 fallecía Felipe II y era coronado su hijo Felipe III. La primera media que tomó fue nombrar a su amigo Francisco de Sandoval, por aquel entonces marqués de Denia, valido del rey (puesto de confianza por nombramiento directo del rey y que se ocupaba de las cuestiones de Estado). Como el rey estaba preocupado por cuestiones ajenas a la política (el teatro, la pintura o la caza) su valido ejerció como verdadero rey de España; se rodeó de un equipo de gente de su confianza y distribuyó los puestos más importantes de la corte entre miembros de su familia y amigos. Además, en 1599, le otorgó el título de duque de Lerma .
El duque de Lerma comenzó a mover los hilos y en 1601 trasladó la corte de Madrid a Valladolid. La teoría fue que lo hacía por alejar al rey de la influencia de su tía y abuela María de Austria; al rey fue suficiente con decirle que en Valladolid había mejores campos para cazar. Pero la realidad era bien distinta… el enriquecimiento. Seis meses antes del traslado, el duque de Lerma había comprado varios solares, casas y terrenos en Valladolid que, lógicamente, con la presencia de la corte supusieron un pelotazo en toda regla. En 1605 vendió a la corona la zona conocida como Huerta de la Ribera por 30 millones de maravedíes, por eso hoy se llama la Huerta del Rey. Pero todavía quedaba la jugada maestra… el 30 de enero de 1606 la corte regresaba a Madrid.
Madrid negoció la vuelta de la corte con el duque de Lerma, tras pactar un sustancioso donativo de 250.000 ducados (unos 93 millones de maravedíes); de esta cantidad se entregó una tercera parte al valido del rey y el resto a la Corona. Además, y en connivencia con el alcalde de Madrid, el duque había hecho alguna pequeña inversión cuando los precios habían caído en Madrid tras el traslado a Valladolid y que, casualidades de la vida, volvieron a dispararse con el regreso de la Corona.
Cuando su entramado de corrupción fue descubierto y comenzaron a rodar cabezas… aún tenía un as en la manga: solicitó de Roma el capelo cardenalicio que se le concedió en 1618, al mismo tiempo que el rey le daba permiso para retirarse a sus propiedades de la ciudad de Lerma. Murió en Valladolid en 1625. El pueblo le cantó:
Para no morir ahorcado,
el mayor ladrón de España,
se viste de colorado.
Fuentes: La corte en Valladolid, Madrid Histórico,
lunes, 26 de mayo de 2014
ALASKA. De Rusia a EE.UU.
¿Por qué Rusia vendió
Alaska a EE.UU.?
Los norteamericanos pagaron US$
7,2 millones por el enorme territorio de hielo tras un acuerdo firmado en 1867.
Por GUEORGUI
MANÁIEVRBTH
¿Cómo dejaron perder las autoridades
zaristas un bocado tan apetitoso? RBTH examina la enmarañada historia de la
venta de un territorio ahora estratégico.
El pedido de adhesión de Alaska a Rusia,
publicado en el sitio web de la Casa Blanca , ha recogido ya más de 35.000 firmas. Son muchos
los que todavía creen que los norteamericanos robaron Alaska a Rusia, que la
alquilaron y no la devolvieron a sus dueños, pero en contra de los mitos
populares, la transacción fue justa y ambas partes tenían razones de peso para
llevarla a cabo.
En el siglo XIX, la Alaska rusa era un
centro de comercio internacional. En su capital, Novoarján-guelsk (actual
Sitka), se vendían telas chinas, té e incluso el hielo que se utilizaba en los
EE.UU. antes de que se inventaran los frigoríficos. Se extraía carbón y se
construyeron barcos y fábricas. Ya entonces se tenía conocimiento de los
numerosos yacimientos locales de oro. Vender algo así parecía una locura.
Una mina de oro
A los comerciantes rusos les atraía de
Alaska el marfil de morsa, cuyo precio no era inferior al de elefante, y las
preciosas pieles de nutria de mar que obtenían gracias al true-que con los
aborígenes. Estas actividades estaban concentradas en manos de la Compañía
Ruso-Norteamericana (conocida por sus si-glas en ruso, RAK). La dirigían
personas valientes, empresarios rusos del siglo XVIII, viajeros atrevidos y
otros que se dedicaban al comercio ilegal. Todos los yacimientos de Alaska
pertenecían a la compañía, que podía alcanzar de manera independiente contratos
comerciales con otros países, contaba con bandera y moneda propia (los marcos
de cuero). Los privilegios se los concedió a la RAK el gobierno zarista que no
solo cobraba unos altísimos impuestos sino que tenía entre sus filas de
accionistas a zares y miembros de su familia. El gobernador principal de los
asentamientos rusos fue un comerciante de gran talento llamado Alexánder
Baránov.
Con Baránov la Compañía
Ruso-Norteamericana gozaba de unos ingresos cuantiosos: ¡más del 1000% de
beneficios! Pero cuando, ya anciano, se apartó del negocio, su puesto fue
ocupado por el teniente comandante Gagermeister, que trajo un nuevo equipo de
empleados y accionistas procedentes de círculos militares. Desde entonces,
según un decreto oficial, la compañía solo podían dirigirla oficiales de la
Marina. Los siloviks, antiguos miembros de los servicios de seguridad, que se
hicieron con el poder de la ventajosa empresa. Sus acciones hicieron quebrar la
compañía.
Los nuevos propietarios se asignaron
salarios astronómicos: los oficiales subalternos percibían 1500 rublos al año
-un sueldo comparable a los de los ministros y senadores- y el jefe de la
compañía, 150.000 rublos. Por otro lado, los precios de las pieles compradas
por la población local se redujeron a la mitad. Como resultado, durante las dos
décadas siguientes los esquimales y aleutianos exterminaron a casi todas las
nutrias, privando a Alaska de su recurso más lucrativo. Los aborígenes cayeron
en la miseria y comenzaron a sublevarse, levantamientos que los rusos sofocaban
abriendo fuego contra las aldeas ribereñas con sus buques de guerra.
Los oficiales trataron de encontrar otras
fuentes de ingresos. Fue entonces cuando empezaron a comerciar con hielo y té,
alternativas que los empresarios no consiguieron organizar de manera sensata,
pero los directivos ni siquiera pensaron en ponerse salarios más bajos.
Finalmente a la Compañía Ruso-Norteamericana le acabaron asignando una dotación
gubernamental de 200.000 rublos al año. Pero esto tampoco la salvó.
La bandera rusa no
quería ser arriada
En ese mismo período estalló la guerra de
Crimea, en la que Rusia combatió contra Inglaterra, Francia y Turquía. Luego
quedó claro que el país no sería capaz de abastecer y proteger a Alaska: las
vías marítimas estaban controladas por los barcos de los aliados. Incluso la
perspectiva de la extracción del oro empezó a no verse clara. Temían que una
Inglaterra hostil pudiera bloquear Alaska, dejando a Rusia sin nada. A pesar de
la creciente tensión entre Moscú y Londres, las relaciones con las autoridades
norteamericanas eran cordiales, y la idea de vender Alaska surgió casi de forma
simultánea por parte de ambos lados. El barón Eduard de Stoeckl, enviado por
Rusia a Washington, entabló las negociaciones en nombre del zar, junto con el
secretario de Estado norteamericano William Seward.
Mientras las autoridades se ponían de
acuerdo, la opinión pública de ambos países se oponía a la
transacción."¿Cómo vamos a entregarles tierras en cuyo desarrollo hemos
invertido tanto tiempo y esfuerzo, donde se abrieron minas de oro y líneas
telegráficas?", escribían los periódicos rusos. "¿Para qué necesita
Estados Unidos ese cofre de hielo y 50.000 esquimales salvajes que beben aceite
de pescado para desayunar?", se escandalizaba la prensa norteamericana con
el apoyo del Senado y el Congreso.
Aún así, el 30 de marzo de 1867, se firmó
en Washington el contrato de venta de 1,5 millones de hectáreas de posesiones
rusas a Estados Unidos por US$7,2 millones, suma puramente simbólica. No se
venden tan barato ni siquiera las tierras yermas de Siberia. Pero la situación
era crítica: incluso podían quedarse con el territorio sin percibir esa
cantidad.
La transferencia oficial se celebró en
Novoarjánguelsk. Tropas estadounidenses y rusas se apostaron junto a un mástil
del que empezaron a arriar la bandera de Rusia después de una salva de cañones.
Pero la bandera se enredó en la parte superior del mástil. Un marinero que se
encaramó a la bandera la arrojó y por casualidad cayó directamente sobre las
bayonetas rusas. ¡Una mala señal! Después, los norteamericanos comenzaron a
requisar los edificios de la ciudad, que fue rebautizada con el nombre de
Sitka. Varios centenares de rusos, decididos a no aceptar la ciudadanía
norteamericana, fueron obligados a evacuar la zona a bordo de barcos mercantes
y no pudieron volver a sus casas hasta pasado un año. No tardó mucho en llegar
la fiebre del oro de Klondike al "cofre de hielo": este frenesí de
inmigración en pos de prospecciones auríferas aportó a EE.UU. cientos de
millones de dólares. Cabe preguntarse entonces cómo habrían sido las relaciones
entre las principales potencias del mundo si Rusia no se hubiera librado en su
momento de una región problemática y deficitaria, de la cual solo podían
obtener ingresos comerciantes talentosos y audaces, pero de ningún modo
oficiales de la Marina.
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Alexander Baranov |
Lo llamaban el Pizarro
ruso
Alexánder Baránov, al que le gustaba que
se refiriesen a él como el Pizarro ruso, construyó escuelas y fábricas, además
de una fortaleza y un astillero. También introdujo a los aborígenes en el
cultivo de nabos y papas. Extendió en el territorio la práctica de la pesca de
las nutrias de mar. Con Baránov la Compañía Ruso-Norteamericana gozó de
ingresos astronómicos. El amor de Baránov por Alaska iba más allá de las
razones puramente económicas, ya que se enamoró de la hija de un caudillo
aleutiano, con la que se casó. Se apartó del lucrativo negocio, que él mismo
hizo florecer, ya anciano, siendo sustituido por el teniente comandante
Gagermeister, que trajo un nuevo equipo de empleados y accionistas procedentes
de círculos militares. Desde entonces, según un decreto oficial, la compañía
sólo podían dirigirla oficiales de la Marina. Estos terminaron por acaparar
todas las acciones de la compañía, llevándola finalmente a la quiebra y luego a
su desaparición.
FUENTE: lanacion.com 22 de mayo del 2014
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