miércoles, 24 de diciembre de 2014

L´Ecosse a produit plus d´énergie éolienne qu´elle n´en consomme.


"C’est un record. L’Écosse a couvert à 100% ses besoins en énergie de manière renouvelable grâce à ses éoliennes ce novembre 2014. C’est un rapport du WWF Scotland qui rapporte l’information. 5,3 millions d’habitants vont ainsi bénéficier d’une énergie relativement propre durant les mois à forte production. Les efforts dans le secteur du renouvelable semblent donc porter leurs fruits.
La source indique même qu’un pic de production de 221% de la demande fut enregistré pendant la journée du 11 novembre. Et ceci ne prend même pas en compte la production délocalisée d’énergie chez les particuliers. Rappelons que plus tôt dans l’année, la centrale nucléaire écossaise Torness avait dû être arrêtée d’urgence après une alerte de sécurité. Là-bas, l’éolien a produit durant 6 mois plus d’énergie que toutes les autres sources (pétrole, gaz, nucléaire,..).

Dans l’ensemble du Royaume-Uni, cette production d’énergie équivaut « seulement » à 22% de la demande. Ce qui indique que de sérieux efforts devraient être réalisés également au sud.
S’il est clair que l’Écosse bénéficie d’un climat favorable à la production d’énergie éolienne, la facilité avec laquelle la totalité des besoins arrive à être couvert devrait indiquer la marche à suivre à d’autres pays".
SOURCE: Mr Mondialisation. http://mrmondialisation.org/incroyable-lecosse-a-produit-plus-denergie-eolienne-quelle-nen-consomme/

martes, 23 de diciembre de 2014

L´importance des abeilles. DataGueule.

Dans cette courte vidéo de 4 minutes, l’équipe de DataGueule nous explique le travail accompli par les abeilles au quotidien, l’impact qu’ont les pesticides sur ces dernières et le rôle des abeilles en ce qui concerne l’alimentation humaine.
Les abeilles et autres pollinisateurs sont essentiels à l’alimentation humaine. Le butinement des abeilles permet la reproduction des plantes et donc, des fruits et légumes. Cependant, les pesticides menacent grandement ces espèces : 35% des ruches aux États-Unis disparaissent chaque année.

Les pesticides devaient d’abord servir à rentabiliser la production agricole. Or, nous savons aujourd’hui que l’agriculture industrielle a des effets néfastes sur notre environnement et sur la biodiversité des sols. Il semble qu’elle ait aussi des effets négatifs sur la santé des abeilles, un allié important à l’être humain concernant la production de nourriture.
SOURCE: MR. Mondialisation. https://mrmondialisation.org/le-declin-et-limportance-des-abeilles-expliques-en-4-minutes/


viernes, 5 de diciembre de 2014

miércoles, 3 de diciembre de 2014

Un kiwi vous explique

Voici un court métrage qui est devenu viral ces derniers jours sur la toile. Il s’agit de mettre en perspective les effets que certaines addictions ont sur le corps et l’esprit sur le long terme. Dans un clair obscur de plus en plus contrasté à mesure que le petit personnage évolue, on peut déduire les ravages des dépendances. L’addiction n’est jamais réellement définie mais il pourrait s’agir de drogues, d’alcool, de tabac ou encore de médicaments, mais aussi pourquoi pas de personnes.

Réalisation : Andreas Hykade.
SOURCE: http://mrmondialisation.org/l-addiction-vue-par-un-court-metrage-glacant/. À partir de:
http://www.huffingtonpost.ca/2014/11/24/nuggets-kiwi-video-addiction_n_6211766.html


martes, 2 de diciembre de 2014

Reyes y motes.

A Felipe III se le conocía como El Piadoso, porque rezaba nueve rosarios al día, uno por cada mes que Jesucristo pasó en el vientre de su madre. A Carlos II, se le llamó El Hechizado dada la cantidad de taras psíquicas y físicas que arrastraba. Carlos IV no tuvo ningún problema con su mote: El cazador, por sus innegables habilidades cinegéticas. Sólo en 1805 cazó 2.016 conejos, 16 jabalíes, 214 lobos, 3 gatos, 35 venados, 195 tórtolas y 206 palomas, entre otros centenares de animales. 
Sancho III fue El Deseado; Alfonso XII, El Pacificador; Jaime II, El Justo... Apodar a los reyes según sus virtudes y también sus defectos fue costumbre hasta hace relativamente poco tiempo. Así, hay monarcas de quienes se resaltó su comedimiento, como Felipe II, El Prudente; la solidez y el acierto de su gobierno, Fernando I, El Grande; su belleza, Felipe I, El Hermoso; sus facultades musicales, Teobaldo I, El Trovador, o su afición a la bebida, José I, más conocido como Pepe Botella.

José María Solé cuenta en su libro Apodos de los reyes de España el motivo de muchos de estos motes, casi un centenar, y la historia de los mismos. Desde los laudatorios El Sabio, El Noble, El Benigno; hasta los que señalan actitudes censurables: El Intruso, El Temblón, El Fratricida; incluso determinadas características y defectos físicos: El Tuerto, El Jorobado, El Calvo, El Gordo. A Ramón Berenguer II se le llamó Cabeza de estopa, por el color rubio de sus cabellos, y a Enrique IV, El Impotente, algo que necesita una explicación, ya que para dar testimonio de que los matrimonios reales se consumaban, buena parte de la corte -nobles, validos, algún obispo, criadas, médicos, bufones de palacio- asistía al delicado momento de la concepción, con lo que no es raro que quien más quien menos se acabara arrugando.
Hay también monarcas que tuvieron más de un mote, a veces contradictorio. Así, a Felipe V se le conoció primero como El Animoso y después como El Melancólico. Igual que a Pedro I, a quien parte de sus súbditos llamaron El Cruel y otros El Justiciero. O Fernando VII, que fue El Deseado para unos y El Felón para otros, dado que su reinado fue de los más indeseado. Luego está el Conde García Fernández, todo un hombretón, batallador y vengativo a quien se conoció como El de las Blancas Manos, tan blancas que siempre las llevaba enguantadas.
Fuente: Muy Interesante.

miércoles, 19 de noviembre de 2014

Les deux côtés de la médaille: l´environnement en Chine.

Black Breakfast est un mini documentaire de quelques minutes proposé par les Nations Unies et réalisé par Zhang Ke Jia. Cette courte vidéo nous montre, en images uniquement, le récit d’une touriste qui souhaite découvrir les beautés de la Chine. Cependant, elle y trouve une tout autre réalité. La situation environnementale dans certaines régions de Chine est préoccupante pour les gens qui y résident et pour la population mondiale.
Ce documentaire, avec une photographie sublime, présente la situation environnementale difficile des habitants des régions urbaines et industrielles de la Chine. La situation est non seulement nuisible pour leur santé, mais aussi pour leur dignité. La surexploitation des ressources naturelles en Chine, principalement le charbon, à de graves répercussions sur l’environnement à une échelle globale. Il y aurait environ chaque année 300,000 morts prématurées à cause de la pollution atmosphérique. Certains chiffres avancent même plus d’un million de morts. Noël approche, il faudra songer à faire des choix entre la qualité et la quantité à petit prix…
Paradoxalement, pour tenter de résorber ces problèmes, la Chine est une pionnière dans le développement durable.



Chine, la révolution verte.
La Chine est le plus gros émetteur de gaz à effet de serre au monde. Son développement économique entraîne des répercussions importantes sur son environnement. Pour endiguer les changements climatiques, la pollution de l’air et des rivières, le pays a recours à des technologies avancées.
SOURCE: Mr. Mondialisation.

Chine et Etats-Unis concluent un accord inédit sur le climat
Le Monde.fr avec AFP | 12.11.2014

Un an avant la conférence sur le climat prévue à Paris à la fin de 2015, Pékin et Washington sont parvenus à un accord, mercredi 12 novembre, pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Les deux premiers pollueurs de la planète représentent à eux seuls 42 % du total des émissions de CO2.
La Chine, pays qui produit le plus de gaz polluants, s'est fixé l'objectif d'un pic de ses émissions de gaz à effet de serre « autour de 2030 », avec l'intention « d'essayer d'y arriver plus tôt », a annoncé la Maison Blanche. C'est la première fois que Pékin s'engage sur l'année à partir de laquelle la courbe s'inversera. De leur côté, les Etats-Unis promettent une réduction de 26 à 28 % de leurs émissions d'ici à 2025 par rapport à 2005.
Le secrétaire général de l'Organisation des Nations unies, Ban Ki-moon, a salué mercredi une « importante contribution au nouvel accord sur le climat qui doit être signé l'an prochain à Paris » et a appelé « tous les pays, notamment toutes les grandes économies, à suivre la voie de la Chine et des Etats-Unis. »
Reçu mercredi à Pékin par son homologue chinois, Xi Jinping, après le sommet de coopération économique de l'Asie-Pacifique (APEC), Barack Obama a quant à lui salué un « accord historique ». L'objectif américain « est à la fois ambitieux et réalisable », a insisté un haut responsable américain sous couvert de l'anonymat. Il pourrait toutefois se heurter à l'opposition des élus du Congrès. Dès cette annonce, le tout nouveau leader républicain au Sénat, Mitch McConnell, a fustigé un « projet irréaliste que le président refourguera à son successeur ». Selon lui, cet accord annonce « des prix de l'énergie encore plus élevés et encore beaucoup moins d'emplois ».

LIMITER LE RÉCHAUFFEMENT À 2 DEGRÉS
Des réticences qui pèsent bien peu face au constat des scientifiques : les efforts actuels sont insuffisants pour limiter la hausse de la température mondiale au-delà de 2 °C, objectif que s'est fixé la communauté internationale pour éviter un emballement catastrophique des dérèglements climatiques. Selon un rapport de l'Agence internationale de l'énergie, les températures pourraient augmenter jusqu'à 3,4 °C d'ici à 2030 si la consommation énergétique se poursuit comme actuellement.
Or, à la fin de 2015, à Paris, la conférence annuelle sur le climat doit décrocher un accord suffisamment ambitieux pour limiter le réchauffement à 2 °C. « Le fait que les Etats-Unis et la Chine, traditionnellement considérés comme les leaders de deux camps opposés [dans les négociations sur le climat], avancent ensemble va avoir un gros impact », explique encore un haut responsable américain.
Dans les négociations sur le climat, Pékin insiste systématiquement pour ne pas être logée à la même enseigne que les pays industrialisés. Il met en avant le principe des « responsabilités communes mais différenciées », selon lequel la responsabilité de la lutte contre le réchauffement planétaire incombe principalement aux pays développés.
A la fin d'octobre, l'Union européenne était de son côté parvenue à un accord sur les trois objectifs climatiques: diminuer les émissions de gaz à effet de serre d'«au moins» 40 % d'ici à 2030 par rapport à 1990; porter la part des énergies renouvelables à 27 % du mix énergétique ; réaliser 27 % d'économies d'énergie. Seul le premier objectif sera contraignant.


Etats-Unis - Chine : un accord sur le climat... by lemondefr

viernes, 7 de noviembre de 2014

Carte géopolitique du Pôle Nord.

Copyright pour le texte et la carte : Alternatives Internationales, n°64, septembre 2014, p. 34. 

EN ARCTIQUE, tout le monde tire des plans sur la banquise. Et d’abord la Russie qui détient la plus grande partie des côtes de cette région où le réchauffement climatique est deux fois plus rapide qu’ailleurs sur la planète. La fonte des glaces laisse entrevoir la possibilité d’utiliser régulièrement dans les décennies à venir des voies maritimes jusque-là impraticables, comme la route du Nord qui longe le littoral russe et pourrait permettre en été de réduire sensiblement la longueur des trajets entre l’Europe du Nord et l’Asie du Nord. Mais outre des conditions météos sans risque pour les cargos, cela exige la mise en place d’infrastructures (ports,…) nombreuses et coûteuses. Par ailleurs, l’Arctique, qui fournit déjà la Russie plus de 20% de ses exportations (hydrocarbures), contient de considérables réserves de gaz et de pétrole offshore. Mais leur exploitation, techniquement complexe, suppose aussi que les pays riverains délimitent leurs zones économiques exclusives de 200 miles nautiques et leur plateau continental dont la forme peut permettre une exploitation au-delà de cette limite. Si Moscou a réglé un contentieux avec la Norvège en 2010 concernant la mer de Barents, un différend l’oppose au Canada. Autre conséquence du réchauffement : les glaces ne protégeront plus le territoire russe d’éventuelles agressions. La Russie, seul pays riverain qui ne soit pas membre de l’OTAN, a donc décidé ces dernières années de renforcer ses infrastructures civiles, mais aussi ses moyens militaires dans ses régions arctiques.

Par Yann Mens Rédacteur en chef d’Alternatives Internationales
SOURCE: diploweb.com La revue géopolitique.

L´amour. Effeuiller la marguerite.

La Simplicité. Jean Baptiste Greuze. 1759.

Effeuiller la marguerite est un jeu qui est censé refléter les sentiments de l'être aimé.
La personne qui y joue associe chaque partie de la ritournelle : « elle (il) m'aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout » à un des pétales d'une marguerite, et ôte ce pétale. La partie de la phrase associée au dernier pétale est censée refléter les sentiments de la personne à qui elle s'adresse. Le jeu est pratiqué dans plusieurs pays.
"Je t'aime, je t'adore, plus que l'or,"
"mais l'or est pour le roi, et toi pour moi."
SOURCE: Wikipedia.

sábado, 1 de noviembre de 2014

Le Français et un peu d´histoire. La guerre d´Algérie.



Fuente: J'aime le français. Facebook.

Comprendre les origines de la guerre d'Algérie en moins de 3 minutes.

"1er novembre 1954. C’est la "Toussaint rouge". Une trentaine d'attentats sont perpétrés contre des militaires ou policiers en Algérie. Une dizaine de morts est à déplorer. Les attaques sont revendiquées par le FLN. Le mouvement prône l’indépendance du pays. Huit ans plus tard, les accords d'Evian sont signés le 18 mars 1962 et adoptés par référendum le 8 avril. L’Algérie proclame son indépendance. Comment le conflit s'est-il développé ? Comment s'est opérée la répression ? Quel a été le rôle des politiques français ?"


Comprendre les origines de la guerre d'Algérie by LeNouvelObservateur

viernes, 31 de octubre de 2014

URBANISMO. GLOSARIO del siglo XXI. EL PAÍS.


Agrociudad: Modelo de asentamiento desarrollado alrededor de la agricultura y las zonas habitadas por los trabajadores de las tierras. Se trata de un fenómeno ligado a las explotaciones latifundistas y la estratificación socioeconómica. La mayor parte de la población que las habita depende de jornales.

Banlieue: Término acuñado del francés que se refiere a los guetos o suburbios urbanos. Se trata de espacios periféricos donde hay una concentración muy alta de obreros e iNmigración de diferentes procedencias residiendo en edificios de varios pisos. Sus habitantes suelen tener las mayores dificultades económicas de la ciudad. 

Barreras arquitectónicas: Término que designa los obstáculos físicos que impiden a ciertos grupos de personas desplazarse por un espacio u espacios y mantener una vida social, económica y física con normalidad. Algunas de dichas barreras físicas pueden ser rampas, escaleras, sanitarios no adaptados o parques sin pavimento, que obstaculizan la integración a personas con movilidad reducida.

Ciudad global: Tipología de ciudad postindrustrial caracterizada por el control de la economía a nivel mundial. Las ciudades globales tienen gran concentración de empresas e infraestructura de telecomunicaciones y albergan sedes de instituciones de orden mundial como la ONU. 

Ciudad resiliente: La resiliencia urbana es un concepto emergente que hace referencia a la capacidad de una ciudad para adaptarse o resistir a impactos producidos por la urbanización, las catásfrofes mediosambientales o las transformaciones tecnológicas. La ciudad resiliente tiene una actitud positiva hacia el desarrollo y el crecimiento urbano.

Demoliciones: Derribos de construcciones como edificios o demás estructuras urbanas. Las demoliciones en asentamientos informales, sobre todo en las ciudades del Sur, causas graves problemas de falta de vivienda a los sectores de población menos favorecidas de las ciudades. 

Ecociudad: También se la conoce como Ecópolis. Se trata de un asentamiento urbano diseñado y regido por principios ecologistas y en vistas a un desarrollo sostenible. Es una ciudad limpia, poco contaminada gracias a su planificación. Es autosostenible, abasteciéndose de los productos que ella misma genera, con energías renovables.

Espacio público: Territorio de la ciudad donde cualquier persona puede ejercer su derecho de circular libremente. Puede ser el escenario para la interacción social, cultural y política.

Gentrificación: Fenómeno por el cual la población de un barrio céntrico pero deprimido o de alguna zona popular de la ciudad que sufre cierto deterioro es desplazada y sustituida por grupos de población con mayor nivel adquisitivo. Dichos espacios se aburgesan y se renuevan hasta convertirse en barrios de moda. 

Megaciudad: Área metropolitana con más de diez millones de habitantes. El área urbana de una megaciudad está dividida en distintos territorio y regentada por diferentes entidades políticas.

Slum: Barrios de chabolas establecidas en la periferia de las ciudades. Condensan gran parte de la población migrada del campo a la ciudad en busca de oportunidades de trabajo. Son asentamientos informales que suelen estar faltos de servicios como agua corriente, electricidad, recogida de basuras o sanitarios. Son los barrios más marginales y pobres. Sinónimos de slum (término acuñado del inglés) son favela o township. 

Tecnópolis: Centros urbanos basados en entornos empresariales e industriales dedicados a la innovación, la generación de conocimiento científico y la tecnología. A menudo se trata de incubadoras de empresas tecnológicas o parques tecnológicos con centros de investigación y desarrollo (I+D). 
AUTOR: Gemma SOLÉS i COLL. 31 de octubre del 2.014. El País.


https://www.educaixa.com/-/retos-de-las-ciudades-del-futuro




viernes, 24 de octubre de 2014

La couleur bleue


avoir le sang bleu: être d'origine noble
avoir les bleus: être triste, mélancolique
casque bleu: soldat de l'ONU
conte bleu: discours mensonger
colère bleue: colère violente
cordon bleu: personne très habile en cuisine
du gros bleu: vin rouge de mauvaise qualité
détenir le ruban bleu: avoir la première place
donner son bleu à quelqu'un: le renvoyer
col bleu: ouvrier
en être tout bleu: être figé d'étonnement
être blanc-bleu: avoir une réputation intacte
être bleu de quelqu'un (_expression belge): être amoureux fou
être chocolat bleu pâle (_expression belge): être mal en point, avoir mal au coeur
être dans le bleu: être dans l'incertitude, être dans un rêve
être fleur bleue: être candide, être naïf
faire le bleu: sécher les cours
la grande bleue: la mer Méditerranée
la planète bleue: la planète Terre
l'heure bleue: moment qui précède l'aube
l'or bleu: richesse représentée par la mer et le tourisme qui y est lié
menton bleu: menton rasé laissant deviner:une barbe très noire
n'y voir que du bleu: n'y rien voir
papier bleu: acte d'huissier
passer au bleu: oublier dans un but précis
steak bleu: steak grillé extérieurement mais cru à l'intérieur
un petit bleu: télégramme
un bas-bleu:une femme savante et ridicule
un bleu: combinaison de travail en toile bleue
un bleu: jeune recrue à l'armée
un bleu: un hématome

SOURCE: J¨aime le français. https://www.facebook.com/FrenchPage

viernes, 17 de octubre de 2014

Récords Climatiques


La chaleur n'est pas forcément synonyme de vacances sur tous les continents. Pour certains pays, le soleil tape en continu quelle que soit la saison. Le record du monde de chaleur est détenu par la Libye. Le 13 septembre 1922, le thermomètre a grimpé à 57,8°C, à El Azizia. Les hausses brutales et continues de températures, appelées vagues de chaleur, peuvent faire des victimes, comme celle de 1896 à New-York.
Autre caprice de la météo, le froid peut lui-aussi frapper plus souvent certains pays que d'autres. Peu étonnant, c'est l'Antarctique qui est champion du monde des températures polaires avec -89,2°C observé le 21 juillet 1983 à Vostok, le lieu le plus froid de la planète. Autres récords:  -68°C, 6 février 1933, Oimekon, Russie et 7 février 1892, Verkhoyansk, Russie, -66ºC, 9 janvier 1954, Northice, Groenland. Dans certaines parties du monde, la neige ne tombe pas seulement en hiver mais fait partie du quotidien comme en Antarctique ou en Sibérie par exemple. Le lieu qui a connu les plus fortes chutes de neige du monde est le Mont Rainier, auxEtats-Unis. Il y est tombé 31,10 m de neige pendant l'année 1971-1972

La pluie varie en intensité selon la météo et les régions du monde jusqu'à se transformer en véritables moussons et inondations détructrices. Le record de pluie revient à Cherrapunji, dans l'Etat du Meghalaya, en Inde. Il y a plu 26 461 mm entre août 1860 et juillet 1861.  Si la pluie peut faire des dégâts (inondations), son absence engendre des conséquences dramatiques. La ville d'Arica, au Chili, est la moins arrosée de la planète. Il y pleut en moyenne 0,76 mm par an. Elle détient également le record mondial de l'aridité : pendant près de 15 ans, 173 mois, aucune pluie n'y est tombé (1903 et 1918). 
SOURCE: LINTERNAUTE.COM.

domingo, 28 de septiembre de 2014

La pollution en Inde

Inde: la pollution atmosphérique de plus en plus meurtrière

New Delhi, la capitale indienne, est la ville où l'air est officiellement le plus dangereux de la planète. Depuis le début de l'année 2014, selon plusieurs études scientifiques, New Delhi est en effet devenue la ville la plus polluée au monde, devant Pékin, Le Caire ou encore Mexico. La pollution est ainsi devenue la cinquième cause de mortalité en Inde. Et la courbe ne semble pas prête de s'inverser.

La pollution à New Delhi, c'est un peu comme un tueur en série. Chaque jour 23 Delhiites meurent prématurément d'une maladie respiratoire. Un nombre qui ne cesse d'augmenter. Et dans les hôpitaux de la capitale, les services de pneumologie ne désemplissent pas.

L'Inde détient un triste record, celui du taux de décès liés à des infections respiratoires qui est le plus élevé au monde. Asthme, bronchite chronique, cancer du poumon, ces pathologies touchent une large partie de la population. "Lorsque les niveaux de pollution sont élevés, les admissions à l'hôpital pour des bronchites ou des problèmes respiratoires ou encore cardiaques augmentent elles aussi. Quand vous inhalez ces particules irritantes, elles pénètrent dans vos poumons, dans les bronches et provoquent une inflammation. Vos voies respiratoires rétrécissent et il est donc plus difficile de respirer. Vos muqueuses produisent plus de sécrétions, et ces sécrétions vont boucher l'ouverture des tissus ce qui entraîne des irritations", explique le Pr Randeep Guleria, chef du service de pneumologie de l'Institut national des sciences médicales à New Delhi.

Parmi les particules les plus dangereuses, celles dont le diamètre est inférieur à 2,5 micromètres. En raison de leur petite taille, elles peuvent pénétrer profondément dans les voies respiratoires. Des mesures sont donc régulièrement effectuées dans différents quartiers de New Delhi. Les échantillons récoltés sont ensuite analysés en laboratoire où les polluants atmosphériques vont être listés.

Si au début des années 2000, les autorités locales ont pris des mesures visant à réduire le taux de pollution, lançant notamment un gigantesque projet de métro, entre-temps le parc automobile a explosé et la situation s'est aggravée. Aux huit millions d'automobiles déjà présentes sur les routes de la capitale, 1.400 nouvelles immatriculations s'ajoutent chaque jour au compteur. Et à l'approche de l'hiver, les spécialistes de l'environnement sont encore plus inquiets.
Mais en Inde, les questions environnementales sont encore très peu présentes dans les discours politiques. Les 17 millions d'habitants de la capitale devront donc patienter et suffoquer un peu plus avant de voir leur ciel s'éclaircir.
SOURCE: http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-inde-la-pollution-atmospherique-de-plus-en-plus-meurtriere-14426.asp?1=1


Le Gange : le fleuve sacré pollué.
La pèlerinage de Kumbh Mela, dans le nord du pays est le plus grand rassemblement religieux du monde. Tous les 12 ans, pendant deux mois, il attire plus de 40 millions de pèlerins. Tous viennent prier et vénérer le Gange, l'un des 7 fleuves sacrés d'Inde. Les croyants estiment que l'immersion dans le fleuve leur permettra de se laver de leurs mauvais « kharma ». Une immersion qui se révèle dangereuse pour la santé de millions d'Indiens car le fleuve est gravement pollué. En plusieurs endroits, il est directement reliés aux égouts- des millions de mètres cube d'eaux usées industrielles y sont aussi déversés chaque année. Mais malgré les mises en garde des scientifiques, les pèlerins continuent de s'y baigner. Un reportage de Héloïse Toffaloni et Constantin Simon.


Ils arrivent de tout le pays…Après plusieurs jours de voyage, ces millions de pèlerins se massent sur les berges d'Haridwar, dans le Nord de l'Inde, pour le plus grand rassemblement religieux au monde. Tous n'ont qu'un but : se baigner dans le Gange, fleuve vénéré dans la religion hindoue… Selon le calendrier, les astres sont favorables. Le sage, Nirman Chandar Dinesh Puri précise:«Cette eau est sacrée, le Gange est sacré. Ce n'est pas une simple rivière comme les autres. Cette eau, c'est la vie. Après l'avoir bue, notre âme est purifiée».

Dans la foule exaltée, un trouble-fête interpelle les pèlerins. Ramesh Tripathi est chercheur en biologie et défenseur de l'environnement. Il s'alarme de la pollution engendrée par ce rassemblement : «Les gens jettent tout et n'importe quoi dans le Gange : de la nourriture, des bougies, des sacs plastiques…. Il faudrait interdire l'accès au site à tous ceux qui portent des sacs plastiques.» Les mauvaises habitudes des pèlerins ne sont qu'un préjudice de plus. Les égouts seraient la principale source de pollution du fleuve. Ramesh nous emmène à 5km en amont du rassemblement, dans cette canalisation à ciel ouvert qui se jette dans le Gange. Il y a en 10 aux abords de la ville. Il nous montre cette canalisation polluée par des matières fécales et des sacs remplis d'ordures qui  polluent."

Ramesh qui a analysé cette eau il y a à peine une semaine, est atterré:«Ça ce n'est pas de l'eau normale. On y trouve des détritus domestiques, des produits chimiques et des déchets fécaux... à un taux 30 fois supérieur à ce qu'on devrait trouver dans de l'eau potable. Cette eau là ne devrait jamais aller dans le Gange, parce qu'elle peut provoquer des problèmes de peau et de digestion, comme la diarrhée. ». Le fleuve est devenu un enjeu majeur pour la santé publique dans la région. Pourtant les autorités de la ville qui gèrent plus de 300 km du Gange semblent nier le problème. Ajay Garola, directeur du Département de l'Environnement et de la pollution de l'Uttarakhand affirme même que ces eaux sont saines : «Si la pollution était aussi grave que vous le dites, nos rapports n'auraient pas conclu que l'eau qui arrive à Haridwar est de bonne qualité. Nous avons prouvé quelle n'a rien de sale.»

Selon les rapports publiés régulièrement par les organisations non gouvernementales, le Gange est le deuxième fleuve le plus pollué au monde. En plus des produits chimiques et domestiques s'y mélangent des déchets industriels… plus de 400 millions de litres par jour… Le Gange est devenu l'une des principales victimes du boom économique indien.
SOURCE: http://www.arte.tv/fr/inde-le-fleuve-sacre-pollue/3039998,CmC=3040120.html

sábado, 20 de septiembre de 2014

Les indépendantistes européens



D'où vient la rivalité entre Écossais et... por LeHuffPost

L'Écosse n'est pas le seul pays concerné par les indépendantistes. Partout en Europe, des dizaines de partis politiques défendent le patrimoine et les richesses de leur région en espérant un jour se dissocier de leur pays. Alors que le référendum écossais a conclu au maintien de l'Écosse dans le Royaume-Uni, les médias européens et américains ont remarqué que ce scrutin a redonné un second souffle à certaines volontés séparatistes. Découvrez les pays concernés et les raisons évoquées dans une infographie animée.     
SOURCE: Courrier International          


Infographie Animée : comprendre les... by courrierinternational

lunes, 30 de junio de 2014

CUADROS FAVORITOS. 2º ESO. Curso 2013-14

Los alumnos del I.E.S. Alhakén II, han elegido su cuadro favorito. Os los presento a continuación. Se trata de los grupos bilingües de 2º ESO, A-B y C-d.



domingo, 29 de junio de 2014

Le Tour du monde. Travail des élèves de 3º ESO


Los alumnos de 3º ESO Bilingüe, han realizado un Cuaderno o Diario de Viaje, donde recrean un tramo de una hipotética Vuelta al mundo durante el último cuarto del siglo XIX o comienzos del siglo XX.  El trabajo se ha realizado en grupos de cinco alumnos. A continuación podéis leer los dos mejores trabajos.


lunes, 23 de junio de 2014

Siglo XVII. Anécdotas.

El Cardenal RICHELIEU y los Gatos.




Cardenal, noble y hombre de Estado que manejó los hilos del poder en la Francia del siglo XVII. Su nombre de cuna era Armand Jean du Plessis (1585-1642), y fue cardenal y duque de Richelieu, duque de Fonsac y superministro de Luis XIII. Sin duda era el hombre más poderoso del Paris de su tiempo, pero tenía una debilidad: los gatos. Este aristócrata descendiente de la nobleza de Poitou, gran mecenas del arte y fundador de la Academia Francesa, apodado L'Éminence rouge por su eterna vestimenta púrpura propia del cardenalato, compartía su casa con 14 felinos, casi todos de raza de angora.

Entre ellos destacaban Lucifer, de pelo negro y carácter salvaje; Gazette, que tenía la costumbre de orinar sobre los invitados que no le gustaban; Ludovico el Cruel, tremendo cazador de ratones, y su pareja, la gata polaca Ludoviska; Serpolet, aficionado a tomar el sol; Príamo y Tisba, que dormían enlazados como los legendarios amantes; y Soumise, que era la gata favorita de Richelieu. Su Eminencia reservó para ellos una habitación especial en la corte y les daba de comer a base de patés de pollo. Siempre estaba rodeado de sus mininos, a los que encomendó la misión de proteger los libros de la biblioteca real de los omnipresentes ratones.

A lo largo de su vida, el cardenal amasó una cuantiosa fortuna de 20 millones de libras, de los cuales a su muerte legó un millón al rey, pero también se acordó en su testamento de sus queridos felinos: les dejó en herencia una casa, comida asegurada mediante una cuantiosa asignación económica y dos cuidadores encargados de que no les faltase de nada.
 FUENTE: MUY INTERESANTE.: ¿Quién dejó parte de su fortuna a los gatos?
http://www.muyinteresante.es/historia/preguntas-respuestas/quien-dejo-parte-de-su-fortuna-a-sus-gatos-861395913011
Duque de Lerma a caballo de Rubens.
EN EL SIGLO XVII SE DIO EL CASO DE CORRUPCIÓN URBANÍSTICA MÁS IMPORTANTE DE LA HISTORIA.
Javier SANZ.  6 Marzo 2012. Historias de la Historia.

El 13 de septiembre de 1598 fallecía Felipe II y era coronado su hijo Felipe III. La primera media que tomó fue nombrar a su amigo Francisco de Sandoval, por aquel entonces marqués de Denia, valido del rey (puesto de confianza por nombramiento directo del rey y que se ocupaba de las cuestiones de Estado). Como el rey estaba preocupado por cuestiones ajenas a la política (el teatro, la pintura o la caza) su valido ejerció como verdadero rey de España; se rodeó de un equipo de gente de su confianza y distribuyó los puestos más importantes de la corte entre miembros de su familia y amigos. Además, en 1599, le otorgó el título de duque de Lerma .
El duque de Lerma comenzó a mover los hilos y en 1601 trasladó la corte de Madrid a Valladolid. La teoría fue que lo hacía por alejar al rey de la influencia de su tía y abuela María de Austria; al rey fue suficiente con decirle que en Valladolid había mejores campos para cazar. Pero la realidad era bien distinta… el enriquecimiento. Seis meses antes del traslado, el duque de Lerma había comprado varios solares, casas y terrenos en Valladolid que, lógicamente, con la presencia de la corte supusieron un pelotazo en toda regla. En 1605 vendió a la corona la zona conocida como Huerta de la Ribera por 30 millones de maravedíes, por eso hoy se llama la Huerta del Rey. Pero todavía quedaba la jugada maestra… el 30 de enero de 1606 la corte regresaba a Madrid.
Madrid negoció la vuelta de la corte con el duque de Lerma, tras pactar un sustancioso donativo de 250.000 ducados (unos 93 millones de maravedíes); de esta cantidad se entregó una tercera parte al valido del rey y el resto a la Corona. Además, y en connivencia con el alcalde de Madrid, el duque había hecho alguna pequeña inversión cuando los precios habían caído en Madrid tras el traslado a Valladolid y que, casualidades de la vida, volvieron a dispararse con el regreso de la Corona.
Cuando su entramado de corrupción fue descubierto y comenzaron a rodar cabezas… aún tenía un as en la manga: solicitó de Roma el capelo cardenalicio que se le concedió en 1618, al mismo tiempo que el rey le daba permiso para retirarse a sus propiedades de la ciudad de Lerma. Murió en Valladolid en 1625. El pueblo le cantó:
Para no morir ahorcado,
el mayor ladrón de España,
se viste de colorado.

Fuentes: La corte en Valladolid, Madrid Histórico,




lunes, 26 de mayo de 2014

ALASKA. De Rusia a EE.UU.


¿Por qué Rusia vendió Alaska a EE.UU.? 
Los norteamericanos pagaron US$ 7,2 millones por el enorme territorio de hielo tras un acuerdo firmado en 1867. Por GUEORGUI MANÁIEVRBTH

¿Cómo dejaron perder las autoridades zaristas un bocado tan apetitoso? RBTH examina la enmarañada historia de la venta de un territorio ahora estratégico.
El pedido de adhesión de Alaska a Rusia, publicado en el sitio web de la Casa Blanca , ha recogido ya más de 35.000 firmas. Son muchos los que todavía creen que los norteamericanos robaron Alaska a Rusia, que la alquilaron y no la devolvieron a sus dueños, pero en contra de los mitos populares, la transacción fue justa y ambas partes tenían razones de peso para llevarla a cabo.
En el siglo XIX, la Alaska rusa era un centro de comercio internacional. En su capital, Novoarján-guelsk (actual Sitka), se vendían telas chinas, té e incluso el hielo que se utilizaba en los EE.UU. antes de que se inventaran los frigoríficos. Se extraía carbón y se construyeron barcos y fábricas. Ya entonces se tenía conocimiento de los numerosos yacimientos locales de oro. Vender algo así parecía una locura.

Una mina de oro
A los comerciantes rusos les atraía de Alaska el marfil de morsa, cuyo precio no era inferior al de elefante, y las preciosas pieles de nutria de mar que obtenían gracias al true-que con los aborígenes. Estas actividades estaban concentradas en manos de la Compañía Ruso-Norteamericana (conocida por sus si-glas en ruso, RAK). La dirigían personas valientes, empresarios rusos del siglo XVIII, viajeros atrevidos y otros que se dedicaban al comercio ilegal. Todos los yacimientos de Alaska pertenecían a la compañía, que podía alcanzar de manera independiente contratos comerciales con otros países, contaba con bandera y moneda propia (los marcos de cuero). Los privilegios se los concedió a la RAK el gobierno zarista que no solo cobraba unos altísimos impuestos sino que tenía entre sus filas de accionistas a zares y miembros de su familia. El gobernador principal de los asentamientos rusos fue un comerciante de gran talento llamado Alexánder Baránov.
Con Baránov la Compañía Ruso-Norteamericana gozaba de unos ingresos cuantiosos: ¡más del 1000% de beneficios! Pero cuando, ya anciano, se apartó del negocio, su puesto fue ocupado por el teniente comandante Gagermeister, que trajo un nuevo equipo de empleados y accionistas procedentes de círculos militares. Desde entonces, según un decreto oficial, la compañía solo podían dirigirla oficiales de la Marina. Los siloviks, antiguos miembros de los servicios de seguridad, que se hicieron con el poder de la ventajosa empresa. Sus acciones hicieron quebrar la compañía.
Los nuevos propietarios se asignaron salarios astronómicos: los oficiales subalternos percibían 1500 rublos al año -un sueldo comparable a los de los ministros y senadores- y el jefe de la compañía, 150.000 rublos. Por otro lado, los precios de las pieles compradas por la población local se redujeron a la mitad. Como resultado, durante las dos décadas siguientes los esquimales y aleutianos exterminaron a casi todas las nutrias, privando a Alaska de su recurso más lucrativo. Los aborígenes cayeron en la miseria y comenzaron a sublevarse, levantamientos que los rusos sofocaban abriendo fuego contra las aldeas ribereñas con sus buques de guerra.
Los oficiales trataron de encontrar otras fuentes de ingresos. Fue entonces cuando empezaron a comerciar con hielo y té, alternativas que los empresarios no consiguieron organizar de manera sensata, pero los directivos ni siquiera pensaron en ponerse salarios más bajos. Finalmente a la Compañía Ruso-Norteamericana le acabaron asignando una dotación gubernamental de 200.000 rublos al año. Pero esto tampoco la salvó.


 La bandera rusa no quería ser arriada
En ese mismo período estalló la guerra de Crimea, en la que Rusia combatió contra Inglaterra, Francia y Turquía. Luego quedó claro que el país no sería capaz de abastecer y proteger a Alaska: las vías marítimas estaban controladas por los barcos de los aliados. Incluso la perspectiva de la extracción del oro empezó a no verse clara. Temían que una Inglaterra hostil pudiera bloquear Alaska, dejando a Rusia sin nada. A pesar de la creciente tensión entre Moscú y Londres, las relaciones con las autoridades norteamericanas eran cordiales, y la idea de vender Alaska surgió casi de forma simultánea por parte de ambos lados. El barón Eduard de Stoeckl, enviado por Rusia a Washington, entabló las negociaciones en nombre del zar, junto con el secretario de Estado norteamericano William Seward.
Mientras las autoridades se ponían de acuerdo, la opinión pública de ambos países se oponía a la transacción."¿Cómo vamos a entregarles tierras en cuyo desarrollo hemos invertido tanto tiempo y esfuerzo, donde se abrieron minas de oro y líneas telegráficas?", escribían los periódicos rusos. "¿Para qué necesita Estados Unidos ese cofre de hielo y 50.000 esquimales salvajes que beben aceite de pescado para desayunar?", se escandalizaba la prensa norteamericana con el apoyo del Senado y el Congreso.
Aún así, el 30 de marzo de 1867, se firmó en Washington el contrato de venta de 1,5 millones de hectáreas de posesiones rusas a Estados Unidos por US$7,2 millones, suma puramente simbólica. No se venden tan barato ni siquiera las tierras yermas de Siberia. Pero la situación era crítica: incluso podían quedarse con el territorio sin percibir esa cantidad.
La transferencia oficial se celebró en Novoarjánguelsk. Tropas estadounidenses y rusas se apostaron junto a un mástil del que empezaron a arriar la bandera de Rusia después de una salva de cañones. Pero la bandera se enredó en la parte superior del mástil. Un marinero que se encaramó a la bandera la arrojó y por casualidad cayó directamente sobre las bayonetas rusas. ¡Una mala señal! Después, los norteamericanos comenzaron a requisar los edificios de la ciudad, que fue rebautizada con el nombre de Sitka. Varios centenares de rusos, decididos a no aceptar la ciudadanía norteamericana, fueron obligados a evacuar la zona a bordo de barcos mercantes y no pudieron volver a sus casas hasta pasado un año. No tardó mucho en llegar la fiebre del oro de Klondike al "cofre de hielo": este frenesí de inmigración en pos de prospecciones auríferas aportó a EE.UU. cientos de millones de dólares. Cabe preguntarse entonces cómo habrían sido las relaciones entre las principales potencias del mundo si Rusia no se hubiera librado en su momento de una región problemática y deficitaria, de la cual solo podían obtener ingresos comerciantes talentosos y audaces, pero de ningún modo oficiales de la Marina.
Alexander Baranov
Lo llamaban el Pizarro ruso
Alexánder Baránov, al que le gustaba que se refiriesen a él como el Pizarro ruso, construyó escuelas y fábricas, además de una fortaleza y un astillero. También introdujo a los aborígenes en el cultivo de nabos y papas. Extendió en el territorio la práctica de la pesca de las nutrias de mar. Con Baránov la Compañía Ruso-Norteamericana gozó de ingresos astronómicos. El amor de Baránov por Alaska iba más allá de las razones puramente económicas, ya que se enamoró de la hija de un caudillo aleutiano, con la que se casó. Se apartó del lucrativo negocio, que él mismo hizo florecer, ya anciano, siendo sustituido por el teniente comandante Gagermeister, que trajo un nuevo equipo de empleados y accionistas procedentes de círculos militares. Desde entonces, según un decreto oficial, la compañía sólo podían dirigirla oficiales de la Marina. Estos terminaron por acaparar todas las acciones de la compañía, llevándola finalmente a la quiebra y luego a su desaparición.
FUENTE: lanacion.com 22 de mayo del 2014